On connaissait les fameuses phrases de Jean-Claude Van Damme. Voici que Luc Besson tente de battre le belge sur son propre terrain. Besson avait annoncé depuis fort longtemps qu'il arrêterait de faire du cinéma après 10 films. Le dixième film se profile (même s'il est en trois parties) : Arthur et les minimoys. Ouf diront les mauvaise langues, surtout à la vue de la qualité du fumeux Angel-A.
Mais attention, ce n'est pas parce qu'il a décidé d'arrêter de faire des films qu'il va arrêter de réaliser. Voici ses propos tenus lors de la fête du cinéma en Italie et qui mérite le terme de 'bessonade' :
Si je ne tourne plus de film, cela me va. J'ai dit ce que j'avais à dire. Mais je ne suis pas idiot. Si on me présente un bon script, je le réaliserai"
Autrement dit, il lui fallait dix films pour raconter ce qu'il avait à dire… Maintenant, il va faire des films pour dire ce qu'il n'avait pas envie de dire. Au vu des 10 films précédents et de leurs propos, voici une bonne nouvelle, non? Dumbledore

Le projet, dont Luc Besson est le "promoteur", vient, en effet, d'être retenu par le gouvernement parmi les cinquante projets du C.I.A.D.T.*
Destiné à créer, dans un premier temps, un studio sur l'emplacement d'une ancienne centrale E.D.F. dans le nord de Paris, il pourrait être complété par un parc d'attraction sur le thème du cinéma. L'objectif principal du projet est de proposer à la production internationale un site susceptible de concurrencer ceux de Pinewood en Grande-Bretagne (dont les frères Scott sont les actionnaires de référence), Cinecitta ou encore les installations allemandes. ''AH

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• Comité Interministériel d'Aménagement et de Développement du Territoire.''

Il fallait s'y attendre. Luc Besson a réussi à vendre l'idée de faire un remake de Taxi à Hollywood. C'est la Fox qui s'y colle avec Besson comme producteur (évidemment). Le casting verra la présence de la chanteuse et comédienne Queen Latifah. A la mise en scène, un inconnu qui n'a pas encore fait ses preuves : Tim Story.
Après l'expérience Les Visiteurs en Amérique, on peut se dire qu'on n'exporte pas forcément ce qu'il y a de mieux dans le cinéma français.