![]() <font color=yellow> Dany Robin, l'ingénue française des années 50…</font> Premier prix de danse au Conservatoire de l'Opéra de Paris, Premier prix de comédie au Conservatoire d'Art Dramatique, Dany Robin, née le 14 avril 1927 à Clamart, avait tout pour réussir dans le monde du show-business. Remarquée par Marcel Carné, elle débute dans un second rôle des Portes de la Nuit. Mais c'est avec le Silence est d'Or de René Clair qu'elle gagnera ses galons de vedettes et deviendra, peu à peu, le symbole de la femme française des années 50. Ses films, à part peut-être la Fête à Henriette, n'ont pas beaucoup marqué l'histoire du cinéma, mais sont le reflet d'une époque où l'on avait avant tout besoin de (re) vivre. Les années 60 furent plus difficiles, marquée par l'apogée de la carrière de Brigitte Bardot. Aussi, après une dernière prestation dans Topaz, d'Alfred Hitchcock, la jeune femme met un terme à sa carrière et se réfugie, avec son époux, dans le village d'Esher, Surrey, Grande-Bretagne. En 1951, Dany Robin avait épousé l'acteur Georges Marchal, rencontré trois ans plus tôt sur le plateau de la Passagère. Le couple eut deux enfants, Robin et Frédérique, avant de se séparer en 1968. L'actrice se remarie en 1971 avec le producteur Michael Sullivan, qui l'accompagnera dans la mort, survenue lors de l'incendie de leur appartement parisien en 1995. Après une apparition sur les planches l'année précédente, elle envisageait de faire son retour devant les caméras, tout d'abord, de la télévision… Texte de Christian Grenier de <a href="http://www.encinematheque.net"><img src="http://encinematheque.net/img/logom.gif" style="vertical-align:-20px"/></a>. |
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