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Filmographie

Voici les films auxquels Pierre Desproges a participé. Vous pouvez compléter ou corriger cette filmographie.

Ordre : (Par date) (Par titre)
Rôle de Pierre Desproges : (Tous) (Acteur) (Scénariste)

2004
Les Animaux ne savent pas qu'ils vont mourir (Théâtre) – Réal. Michel Didym – Philippe Fretun, Daniel Martin, Clotilde Mollet
DVD Z2 : sorti
A partir de textes connus, d’autres inédits, Michel Didym a tricoté un montage où chansons et musiques mettent leur grain de sel. Tout y est, les colères contre le racisme, l’intolérance, l’anticléric […]

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1977
Nazis dans le rétro (La face cachée d'Adolf Hitle) (Cinéma) – Réal. Michel de Vidas, Richard Balducci – Billy Frick, Albert Médina, Pierre Desproges

En 1977, dans les rues de Braunau – la ville natale d'Adolf Hitler – un homme est à la recherche de son passé. Il n'est autre qu'Albert Hitler (Pierre Desproges), le propre fils du Fuhrer. E […]

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1975
Le Petit rapporteur (Série TV) – Réal. Bernard Lion, Michel Clément, Claude Kolton – Jacques Martin, Pierre Bonte, Stéphane Collaro
DVD Z2 : sorti
Le 19 janvier 1975, une nouvelle émission fait son apparition sur l'antenne de TF1, Le Petit rapporteur. Cornaquée par Jacques Martin, l'émission qui prend place le dimanche après-midi, se révèle le p […]

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Biographie

Pierre Desproges

Après avoir été journaliste à "L'Aurore" où il se fait remarquer par ses brèves insolites à l'humour acide, Pierre Desproges devient chroniqueur dans l'émission télévisée Le Petit Rapporteur sur TF1. Sa prestation dans cette émission dominicale de Jacques Martin, au côté de son complice Daniel Prévost reste dans l'esprit des amateurs d'humour noir et de cynisme. Il fut longtemps ensuite chroniqueur dans le Tribunal des flagrants délires en compagnie de Claude Villers et de Luis Rego où sa plaidoirie commençait par la phrase devenue célèbre : «Bonjour ma colère, salut ma hargne et mon courroux coucou !». Il eut aussi une chronique quotidienne sur France Inter intitulée "Chronique de la haine ordinaire". Il anima également en compagnie de Thierry Le Luron l'émission hebdomaire "les Parasites" sur l'antenne. Il a tenu sur FR3 une chronique intitulée "La Minute nécessaire de Monsieur Cyclopède" qui selon ses propres dires divisa la France en deux, «Les imbéciles qui aiment et les imbéciles qui n'aiment pas.» selon son expression Sur les conseils de Guy Bedos, il monte sur scène entre 1984 et 1986. Desproges est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris, juste en face de Michel Petrucciani et non loin de Frédéric Chopin.

Célèbre pour son humour grinçant mis en valeur par une remarquable aisance littéraire, Desproges s'est souvent illustré par ses sujets de plaisanterie inhabituels. Comme il le disait lui-même : «On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde.» (interview Télérama du 24 Novembre 1982) Ses traits d'humour reflètent ses positions antimilitaristes («Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un peu d'entraînement, on peut arriver à en faire des militaires») ou anticommunautaristes («Il y a plus d'humanité dans l'œil d'un chien quand il remue la queue que dans la queue de Le Pen quand il remue son œil», «Anne Sinclair a déclaré qu'elle n'aurait jamais épousé un non juif ; on pourrait y voir comme une sorte de racisme» ou encore, en reprenant Georges Brassens : «A plus de quatre, on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal»). Il n'hésita pas à s'attaquer aux sujets les plus sensibles, comme la religion («Dieu a dit : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même", c'est vrai. Mais Dieu ou pas, j'ai horreur qu'on me tutoie, et puis je préfère moi-même, c'est pas de ma faute»), la Seconde Guerre mondiale («L'embêtant dans la collaboration, c'est qu'il fallait dénoncer des juifs. C'est pas très joli comme occupation de dénoncer les juifs. Oui mais… dans la résistance, on dénonçait pas les juifs, mais fallait vivre avec !») et même sa propre maladie («Plus cancéreux que moi, tumeur !»). Il excellait à prendre son public à contre-pied des positions convenues : «Quand je pense que je gagne en une soirée l'équivalent de trois mois de salaire d'un ouvrier spécialisé alors que tout près d'ici, et en ce moment même, Guy Bedos gagne en une soirée six mois de salaire d'un cadre !». La légende voudrait qu'il ait tourné sa propre mort en dérision en rédigeant lui-même la dépêche annonçant sa mort : «Pierre Desproges est mort d'un cancer. Etonnant, non ?» en référence à la phrase de conclusion rituelle sur de La Minute nécessaire de Monsieur Cyclopède. Cette dépêche est en fait signée Jean-Louis Fournier, réalisateur de la chronique et proche de Desproges. A la base, celle-ci aurait dû être «Pierre Desproges est mort d'un cancer sans l'assistance du professeur Schwartzenberg», proposée par Hélène Desproges, mais les médecins lui ont fait savoir qu'elle risquait d'aller au-devant d'une polémique.

(source Wikipedia)

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Liens

imdb.com La fiche IMDb de Pierre Desproges

Références

Forum Mort de Guy Bedos (1934 - 2020) : Encore un qui s'en va...
Forum L'As des as : Raging bœuf miroton
Forum Décès de Victor Lanoux (1936-2017) : Adieu l'ami !
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