Forum - Bibi Fricotin - Les essentiels
Accueil
Forum : Bibi Fricotin

Sujet : Les essentiels


De pjdarras, le 27 septembre 2006 à 15:18
Note du film : 6/6

Peu de gens ont vu (ou même entendu parler de) ce film en grande partie créé par les Gagmen Associés, Louis Harfaux et Maurice Henry, qui ont été membres du Grand jeu avant d'adhérer au Mouvement Surréaliste. On retrouve donc dans cette production : un auteur très populaire, Louis Forton, créateur des fameux Pieds Nickelés, anarchiste présumé. Parfaitement loufoque, ce film invraisemblable est tout entier une course poursuite*, mettant en valeur l'intrépide Maurice Baquet, acteur fétiche des deux compères, tous deux nés à Cambrai (Nord).

Bref, à voir absolument, et, j'en suis sûr, à rééditer en priorité.

  • A rapprocher de Voyage Surprise des frères Prévert, avec le même Maurice Baquet, et du tout aussi fabuleux et loufoque Le Triporteur, de Jacques Pinoteau, d'après René Fallet, avec l'excellent Darry Cowl.

Répondre

De paul_mtl, le 27 septembre 2006 à 16:19
Note du film : 2/6

Effectivement une rareté avec seulement 8 votes sur IMDb. J'ai vu cette comédie française et adolescent je lisais les Pieds-Nickelés.

J'apprécie pas vraiment Maurice Baquet et surtout dans un premier rôle (Bibi Fricotin).

Dans le film, il enchaîne les gags sans me faire vraiment sourire. Il s'agite, fait des acrobaties et le scenario est bien léger.

C'est un humour innocent, non sens … qu'on peut comparer un peu a Tati sans bien sûr atteindre ni la poésie et ni le talent.

Pour les fans de Louis De Funes, d'après mes souvenirs il ne fait qu'une minuscule apparition comme maître nageur a la fin (10sec).


Répondre

De portroyal, le 15 avril 2011 à 11:00
Note du film : 5/6

Une rareté… bien connue des cinéphiles ^^.


Répondre

De Gilou40, le 11 septembre 2011 à 15:53

Quelle drôle de chose que ce film ! Une rareté, disent mes camarades ? Ah oui, c'est ce qu'on peut appeler une rareté. Inclassable. Un mélange d'Histoires sans paroles et de Jour de fête, avec un zeste des Cinq sous de Lavarède . Un Maurice Baquet horripilant et une cohorte de comédiens brinquebalés par des mouvements de caméras qui font les gags. Pas une once d'humour dans ces aventures Fricotinesques. Ca part dans tous les sens, au gré du vent, et il ne sait pas vraiment de quel côté il veut souffler. Ajouter à ça un montage au lance pierres, et voyez caisse. Je n'ai que peu de souvenirs de la bande dessinée. Je me souviens mieux des Pieds Nickelés qui paraissaient à la même époque.

Vous en dire plus serait aventureux. Le film ne me ramène à rien. Aucune nostalgie. Aucun souvenir précis. On ne peut même pas évoquer "une époque", un style. C'est ennuyeux et pénible tout ce brassage d'air. C'est vraiment mauvais. Je ne sais même pas si ce Bibi Fricotin a pu faire rire les enfants, à l'époque. En tous cas, aujourd'hui, Bibi ferait un four du tonnerre. Incapable de noter un "truc" pareil.


Répondre

De Impétueux, le 11 septembre 2011 à 18:10

On ne peut guère comprendre la curieuse et récurrente présence sur les écrans de Maurice Baquet (par ailleurs violoncelliste de quelque qualité, paraît-il) sans évoquer les copinages anciens au sein du Groupe Octobre, qui fut un cénacle crypto-communiste de grande réputation. Bon nombre de ses membres avaient de la qualité (Jacques Prévert, Raymond Bussières, Claude Autant-Lara, Mouloudji) mais, comme toute bande il y avait de tout, dont Baquet, hurluberlu sympathique et limité.

Au quatrième plan de la scène, il est supportable (dans Le crime de Monsieur Lange, par exemple – c'est le p'tit gars à la jambe cassée), mais il n'a pas les épaules pour être au premier plan.

Les Aventures des Pieds-Nickelés le présentaient en Ribouldingue (le barbu), aux côtés de Robert Dhéry en Filochard (le borgne) et de Rellys en Croquignol (le crâne pointu au long nez). J'ai vu ça il y a longtemps et j'ai été bien déçu. Pourtant le film n'a pas mauvaise réputation, au contraire de ce Bibi Fricotin, qualifié de calamiteux par les meilleurs connaisseurs du cinéma français de l'époque, Raymond Chirat et Olivier Barrot.

Après ce Bibi-là, d'ailleurs, il me semble que les producteurs n'ont pas aligné un fifrelin sur Baquet en vedette…


Répondre

De vincentp, le 11 septembre 2011 à 22:45

J'ai vu ça il y a longtemps et j'ai été bien déçu.

Ah ? Qu'espériez-vous de ces pieds nickelés ? Qu'ils épousassent la comtesse aux pieds nus après être passé au Baquet ?


Répondre

De Impétueux, le 12 septembre 2011 à 09:49

J'attendais des Aventures des Pieds-Nickelés qu'elles me procurassent tout le plaisir qu'adolescent je ressentais à la lecture des illustrés et des images de Forton perpétuées alors par Pellos, alors même que je ne suis pas un véritable amateur de bandes dessinées.

Ces échecs constants d'adaptations de dessins en films me laissent d'ailleurs penser que la prochaine sortie de Tintin : Le temple du soleil, quels que soient les grands talents de Steven Spielberg et de Peter Jackson sera une nouvelle déception ; les quelques images de présentation aperçues à la télévision me laissent bien perplexe et en rien convaincu…

L'esprit d'Hergé flotte sûrement plus sur L'homme de Rio, avec un Belmondo emballant.

Pardon ! J'ai largement dérivé….

C'est à dessein que je n'évoque pas les films tirés des personnages de super-héros étasuniens, Superman ou Batman, ou toute la tribu. Et pas davantage les mangas nippons. Ne connaissant rien à ces univers, et m'en sentant totalement éloigné, je laisse à des amateurs le soin de les trouver adaptables.


Répondre

De vincentp, le 12 septembre 2011 à 10:43

L'esprit bande-dessinée typée aventures se retrouve dans des classiques comme Les aventures de Robin des bois, Ivanhoe, L'aigle des mers, etc… Jean-Michel Charlier s'est largement inspiré de ces récits.

Les adaptations de BD modernes sont nombreuses : Sin city, V pour Vendetta. Des adaptations plus ou moins réussies.

Le langage n'étant pas le même, une réflexion minutieuse sur la mise en scène, le scénario, les dialogues, doit être menée.

Les pieds nickelés sont d'un graphisme médiocre, et les histoires tout autant, à mon avis.


Répondre

De vincentp, le 12 septembre 2011 à 13:42

Il faut effectivement replacer cette série dans son contexte historique. Et il y a peut-être une dimension satirique qui m'avait échappé quand je les lisais au premier degré (comme alors Sylvain et Sylvette, et Johann et Pirlouit).

J'admire néanmoins Impétueux qui se coltine courageusement (en les observant à la loupe) ces tous tous petits films complètement oubliés du cinéma français… avec ses acteurs inconnus : les Bidet, Baquet, Baudet… Ses metteurs en scène que pas une salle de répertoire n'oserait programmer aujourd'hui (Marcel Blistène).

Et en en attendant monts et merveilles !

Nb : pour ma part, je suis partisan de faire table rase des vieilleries inutiles et de se concentrer sur l'essentiel. Le cinéphile doit à mon sens opérer une sélection basée sur des critères qualitatifs. Sa démarche doit être à la fois globale (découverte du cinéma sous un angle mondial) et sélective (les nanars à la poubelle !).


Répondre

De Gilou40, le 12 septembre 2011 à 14:28

se débarrasser des vieilleries inutiles…

Mon cher Vincentp, je ne comprendrais jamais cet ostracisme envers ce que vous appellez les "tous, tous petits films". Ils sont complètement oubliés ? Et alors ? N'est ce pas le rôle de ce site que de nous en rappeller l'existence ? Vous envoyez valdinguer d'un revers de manche tout le travail des Frères Lumière ! Dites vous bien que si Le Sieur Ozu a pu exprimer ses phantasmes, il y a eu d'abord L'arroseur arrosé. Et que si Bibi Fricotin est une calamité cinématographique, il n'en reste pas moins un film. Et en ce qui concerne votre affirmation comme quoi aucune salle ne projetterait plus ce genre de nanar, je vous signale que j'ai vu ce film à la salle Bellecombe, sise au 61 rue d'Inkermann à Lyon. Et pas plus tard que Samedi dernier. Vous me direz que ce cinéma n'est pas un complexe multi-salles comme il en existe beaucoup aujourd'hui, mais ca reste un ciméma et qui a programmé Bibi Fricotin. Et ils ont refusé du monde…

Imaginez qu'un jour vos enfants et petits enfants pensent que vous êtes devenu une "vieillerie inutile". Vous aurez beau gueuler "J'existe ! J'existe !", ils vous réserveront le sort que vous réservez à Bibi Fricotin, en pensant que l'essentiel, c'est eux…


Répondre

De vincentp, le 12 septembre 2011 à 14:35

Et ils ont refusé du monde…

Vous me surprenez énormément. Mais il est vrai qu'à Lyon, il n'y a pas de cinémathèque qui trie le bon grain de l'ivraie.

Et pas question de relier le travail des frères Lumière à celui de Marcel Clistène. Il faut simplement être réaliste : il n'est malheureusement pas possible de conserver toutes les productions culturelles réalisées depuis l'apparition de Cro-magnon. Il faut bel et bel faire des tris. Je suppose que vous avez jeté votre machine à coudre, et votre télévision cathodique,…

Ah oui, j'en ai fait de même cet été avec les deux aspirateurs antiques de mes parents remplacés par un aspirateur moderne et performant. Que n'ai-je pas entendu quand je leur ai dit que ces vieils aspirateurs avaient pris le chemin de la déchetterie (style : "et si on vient chez toi, et qu'on te jette tes affaires ?")! Puis, plus tard, bien plus tard, je fus bien sûr félicité pour ma clairvoyance… la poussière étant devenue "persona non grata" avec ce turbo-aspirateur.

Je crois qu'à un certain âge, on s'accroche aux branches du passé…

Il faut avoir un pied (et pas deux) dans le passé, et le second à cheval entre le présent et l'avenir. Et le présent et l'avenir sont placés sous le signe de la mondialisation, qu'on le veuille ou non.


Répondre

De Gilou40, le 12 septembre 2011 à 14:52

Oui, ils ont refusé du monde. Cette salle

ne possède que 290 places et ne donne qu'une séance. Et papys et mamies sont venus avec petits enfants en masse pour montrer à leur descendance ce qu'était Bibi Fricotin. Je vous avoue qu'ils n'en sont pas ressortis le sourire aux lèvres. Les plus vieux constatant que leur mémoire les avait un peu trahi, et les plus jeunes se demandant ce qu'ils venaient de voir. Mais le fait est là : Les gens se sont déplacés !

Ma télé ? Oui, je l'ai viré et sur vos conseils et ceux d'Ahlolg, je me suis offert ce qui ressemble au meilleur. Mais la machine à coudre, elle tourne encore et presque tous les jours !


Répondre

De vincentp, le 12 septembre 2011 à 14:55

Avec un porte pareille, parents, grand-parents, petit-enfants se sont retrouvés piégés comme des rats dans ce cinéma ! Bravo à l'exploitant, qui a du en profiter pour écouler son stock d'esquimaux !


Répondre

De Gilou40, le 12 septembre 2011 à 15:01

Ne vous moquez pas ! C'est une ancienne annexe d'hôpital. Mais l'intèrieur est nettement plus folichon que l'enseigne ! C'est un groupe de bénévoles qui se bat depuis des années pour que ce ciné de quartier ne finisse pas en Supermarché. Et, mis à part les projections exceptionnelles (Bibi), cette salle programme les derniers films à la mode !


Répondre

De vincentp, le 12 septembre 2011 à 16:46

C'est un groupe de bénévoles qui se bat depuis des années pour que ce ciné de quartier ne finisse pas en Supermarché.

Démarche admirable ! Que serait le cinéma sans ces bénévoles de l'ombre pour programmer, organiser les projections (faire parfois des kilomètres pour aller chercher les bobines) ?

Un bon film pour les enfants (à partir de 9 ans) que je conseille à ces bénévoles de la rue Inkermann à Lyon : Stand by me.


Répondre

De Impétueux, le 12 septembre 2011 à 16:50

D'abord je redis solennellement que je n'ai pas vu, et ne verrai sûrement jamais, après le costume que Gilou lui a coupé, ce Bibi Fricotin qui est à la racine de ce fil. Mais Gilou a bien raison d'avoir eu la curiosité de l'aller voir !

La problématique que pose Vincentp est pour autant bien intéressante et je dois dire que je ne l'ai jamais résolue. Je ne suis pas certain, d'ailleurs, qu'il y ait une réponse univoque.

Il est certain qu'on ne peut pas tout faire, on ne peut pas tout lire, on ne peut pas tout voir. Dès lors, sur quels critères agit-on ? Il y a longtemps qu'en littérature j'ai fait mes choix, ceux de creuser jusqu'au tréfonds les auteurs que j'aime et, forcément, d'en négliger d'autres, tout aussi, ou davantage importants pour une vision éclairée du patrimoine mondial, voire français. Ainsi n'ai-je jamais lu Nerval, Tolstoï ou Hemingway, alors que je suis un convenable connaisseur de Stendhal, Proust ou Giono, ayant lu ceux-là dans tous les sens et lisant aussi ce qu'il paraît sur eux.

Une fois écrit cela, j'y mets un bémol ; j'ai découvert Faulkner il y a quelque temps, je suis en train de lire Dostoïevski ; comme quoi…

C'est bien plus flou encore en matière de cinéma, art plus récent, donc moins décanté, si j'ose dire ; s'il est facile d'avoir vu (et revu) tout Kubrick, voire tout Ophuls, eu égard à la brièveté de leur œuvre, c'est déjà plus compliqué avec Guitry, Renoir ou Duvivier ; et le fait qu'il y ait bien, dans leurs filmographies, des scories grossières ne change rien à l'affaire : il y a, chez Balzac ou Zola, que j'ai beaucoup parcourus, pas mal de choses assez médiocres.

Et puis, il y a des tas de petits films qui sont, en eux-mêmes, assez négligeables, mais qui présentent des trognes d'acteurs qu'on aime bien, ou l'atmosphère d'une époque qu'on a connue et qui a disparu, ou encore un patelin que l'on aime. Et de la même façon, en littérature, on se laisse envahir par des bouquins qui ne sont pas forcément puissants, ni même bien écrits, mais qui séduisent parce qu'ils sont haletants ou charmants…

L'idée que vous aimez soutenir, Vincentp, d'un corpus cinéphilique incontestable (du type Les 500 films unanimement reconnus comme ayant dû être vus) n'est pas absurde, mais ne me retient pas. Le principe de plaisir, une forme d'hédonisme léger qui m'amène à me dire que dans quelques minutes, je vais plutôt regarder Adhémar de et avec Fernandel plutôt que Les dames du Bois de Boulogne, du solennel (et à mes yeux glacial) Robert Bresson. Envie du moment…

Mais je reconnais avec vous qu'il faut de temps en temps forcer un peu la machine et se plonger dans un univers plus exigeant…


Répondre

De vincentp, le 12 septembre 2011 à 19:04

Le temps disponible, l'endroit ou vous êtes jouent aussi. A Paris, l'offre culturelle est telle qu'elle vous oblige à faire des choix : il n'est pas possible de voir toutes les expositions de peinture, d'aller à tous les concerts, de voir tous les films de répertoire projetés ou d'assister à toutes les pièces de théâtre. Sauf si vous êtes à la retraite. D'ou l'importance d'avoir une politique de spectateur, de définir son parcours. Je me concentre ainsi sur l'essentiel. Je n'aime pas les expos beaucoup trop analytiques (au musée Guimet, au quai Branly) qui commentent l'histoire de chaque cuillère à soupe Afghane ou inca. Je les passe en quatrième vitesse. La rétrospective Blake Edwards offre un aperçu de l'évolution du cinéma américain sur 40 ans et mérite un petit effort, à mon avis, même si tous les films ne sont pas des chefs d'oeuvre.

Dans des villes de taille moyenne, ou plus encore dans de petites villes de province, l'offre culturelle est essentiellement celle des médiathèques municipales ou de la télévision. On ne consomme pas la culture de la même façon. Moins de chefs d'oeuvre à disposition, mais plus de temps pour apprécier simplement des oeuvres artistiques de qualité.


Répondre

De ribouldingue, le 12 septembre 2011 à 19:53

Pas si nul que cela ,par rapport aux comédies actuelles

Tulard "avance" l'ensemble est de bonne facture et entrainant .

M. Baquet : qui a vu : les souvenirs ne sont à vendre Place de la concorde Altitude 3200 Le grand élan

Quand vous aurez ces films ,vous pourrez écrire sur ce tres bon acteur et de plus grand sportif . Note : 4/6


Répondre

De annick, le 12 septembre 2011 à 20:45

Avec toutes vos élucubrations vous m'avez fait rire et je me demande s'il n'est pas dommage que comme Bibi Fricotin, Tintin et autres, Spirou n'ait jamais eu de version cinématographique……….

Il fait lui aussi partie des BD de ma jeunesse et pourquoi pas…………….

                  annick

Répondre

De Gilou40, le 12 septembre 2011 à 22:11

Ah ! Spirou ! "La mauvaise tête", voilà mon préféré… "Les voleurs du Marsupilami", "Il y a un sorcier à Champignac", "Z comme Zorglub", "Les dictateurs et le champignon" et j'en oublie…Mais qui aurait bien pu enfiler la tenue de notre célèbre groom ? J' vois pas. Il parait qu'Alain Chabat nous concocte, en ce moment, les aventures du Marsupilami….


Répondre

De annick, le 13 septembre 2011 à 19:52

Vous avez raison, qui pourrait endosser le rôle de Spirou? J'ai grandi avec toutes ces BD……..Spirou, Gaston Lagaffe,Johan et Pirlouit, Les petits hommes, Benoît Brisefer, Les schtroumpfs…………et surtout Sybilline, ma préférée……… Pour en revenir à Spirou l'un de mes albums favoris était le nid du marsupilami………dommage qu'étant trop "grande" à leur sortie, je n'aie pû m'acheter les albums dédiés au marsupilami……….

Dans le rôle de Spirou je verrais assez bien……………j'avoue n'en n'avoir aucune idée…………

             annick

Répondre

De annick, le 13 septembre 2011 à 20:00

Puisqu'on en est aux anciennes BD, juste une petite anecdote………. Outre Tintin et Boule et Bill bien connus, j'adorais Zig et Puce et aussi Bicot président de club…… je pense que de nos jours le titre de cette BD aurait fait dresser les cheveux sur la tête des anti-racistes un peu comme Tintin au Congo qui était pourtant avec Tintin au Tibet mes deux albums du reporter préférés…….

          annick

Répondre

Installez Firefox
Accueil - Version bas débit

Page générée en 0.011 s. - 5 requêtes effectuées

Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter