C'est finalement ce que Lang a fait de moins pire surtout grace au acteurs ,Guy marchand,Daniel ceccaldi,Phillipe khorsand. Pour le reste le vaudeville est désastreux .
Je me souviens avoir beaucoup aimé ce film frais emportant en ses flancs nos embruns de jeunesse…Mais je ne me souviens plus , cher Fretyl , de Philippe Khorsand dans ce film….Pardonnez cette remarque , mais non, je ne le revois pas au milieu de ces vacanciers insouciants..
Imdb vous le confirme : pas plus de Philippe Khorsand dans L'hôtel de la plage que d'orthographe correcte dans les messages de Frétyl !
tiens! V'la le redempteur qui chouine ! Il est beaucoup plus soft avec les nanas….Depuis massabielle, ou il est tombé en grace, ce con n'a de compassion que pour les gonzesses !! Je me demande si il s'est branlé devant la vierge? Petit facho de merde…T'es beau toi , oui! t'es beau!
Bravo ! Le niveau vient encore de monter de plusieurs crans ! On commence à ressentir l'ivresse des sommets…
Cas d'école : est-ce que je supprime, comme me le suggère Droudrou, soucieux de nettoyer les écuries d'Augias, le délicieux message de p3aq dont la subtilité et le sens de l'humour concis, glacé et sophistiqué (comme disait Gotlib) peuvent ravir des générations ou est-ce que je le laisse subsister, comme une bouse significative de l'état d'esprit hystérique de certains cinglés (et quand j'écris bouse, c'est évidemment une litote)…
Je ne sais pas…L'une et l'autre solution ont des avantages…. Propreté du site contre Témoignage de l'intensité d'une connerie…
J'attends vos points de vue…
Ah ! les cas de conscience… Puisque vous nous demandez notre avis, j'aurais tendance à penser qu'il faut laisser (exceptionnellement) des traces de la bêtise et de la vulgarité humaine, pour que chacun puisse prendre les dimensions de la hauteur d'esprit de leur Auteur.. Mais par contre, adopter les mesures qui s'imposent pour que les pseudonymes orduriers n'aient plus droit de cité sur notre Forum… A l'inverse de notre collègue GAULHENRIX, je n'irais pas jusqu'à perdre notre temps à demander des explications sur un comportement des plus grossiers… "Guilty" disent nos amis britanniques !
Il me semble préférable de conserver cet étonnant message et de demander à p3ag – s'il existe en tant que tel – d'expliquer plus clairement l'objet exact de son ressentiment…
Le message de p3ag me fait penser aux cahiers du serial killer dans Seven, couverts d'écrits délirants, témoins d'un esprit malade et dangereux… Il a bien pris ses pilules aujourd'hui, p3ag ?
Que c'est frais, tout ca ! Beaucoup plus frais que les critiques que je lis, en tous cas ! Comme il fait "beau" dans ce film qui se veut sans prétention, mais qu'il eut été bien dommage de ne pas faire. J'avais oublié comme Michel Robin était si attendrissant, seul avec sa vieille maman, dans cet hôtel de vacances. Je me souviens toujours de cet acteur dans un film intitulé Mais ne nous délivrez pas du mal, où deux gamines diaboliques tuaient ses oiseaux. Je le revois pleurer sur la cage. Ça m'avait profondément marqué. Ou ai-je pu voir ça ?… Il y a bien longtemps.
Oui, cet Hôtel de la plage nous remplit de nostalgie. Les vacances, la jeunesse, les amours naissantes… Les premiers pots alcoolisés, les bains de minuit. Qu'elle est belle cette chanson de Mort Shuman ! Comme elles sont belles ces femmes qui oublient qui leurs fachos de maris, qui leurs cinquantaine ennuyeuse, qui la morale… Ces Anglais qui se "battent encore" et finiront par ficher le camp à la cloche de bois. Et puis ces ados frimeurs et éperdument amoureux de ces Blé en herbe qui déambulent devant leurs acnés, à longueur de journée.
Le triptyque Lemaire/Marchand/Ceccaldi est savoureux….
Cet hôtel, c'est peut être le dernier refuge ou il fait bon vivre dans notre mémoire… Les derniers vrais soleils avant ceux que ne verront plus que nos enfants. Les dernières jupes qui volaient encore, les derniers tarzans qui peuplaient nos espoirs.Michel Lang nous transporte… Que c'est loin, tout ça. Qu'il était joli ce temps là….J'ai revu dernièrement Martine Sarcey et Sophie Barjac. Je ne sais plus ou ni dans quoi, et je veux l'oublier… Ce n'est pas juste ! Non, ce n'est pas juste…N'est-ce pas, Messieurs ?
Vous savez ce que me rappelle ce film ? La plus belle chanson de Trenet : L'oiseau des vacances…
Sur une branche de bois mort, Le dernier oiseau de l'été Se balance, Dernier dimanche en ce décor Où meurt le sourire enchanté Des vacances. Dernier soleil qui vous salue, Et qui s'éclipse au fond des nues Dans sa gloire. Demain sera fini l'amour Et nous n'aurons plus les beaux jours Qu'en mémoire.
A quoi bon dire: "à l'an prochain" Quand on n'est pas du tout certain D'être ensemble. La vie se plaît à séparer, Ceux qui dans le bonheur d'aimer Se ressemblent. Et puis les jours et les saisons, Tout comme l'amour et les chansons Sont volages. Ce soir ton cœur est là, fidèle, Oui mais demain plus d'hirondelle Sur la plage.
Non il n'est jamais revenu Le temps béni, le temps perdu, Triste chose. Le temps de mes premiers émois Qui fleurissaient comme les lilas Et les roses. Pourtant le soleil avait dit: "Je reviendrai après la pluie De décembre" L'hiver a quitté son linceul, Et je demeure là toujours seul Dans ma chambre.
A mélanger des souvenirs, A ne savoir lequel choisir Passent les heures. A se dire « il faut être fou Pour en rire ou bien après tout, Qu'on en pleure. Cela n'est pas très important J'avais quinze ans, vingt ans, trente ans Que m'importe » Disons-nous, pour nous consoler, Qu'on a bien fait de s'envoler De la sorte.
J'entends alors comme une voix Qui murmure, je ne sais pourquoi, Des rengaines. Toutes me redisent dans leur refrain, Ces mots qui me font à la fin, De la peine. «- Que viens-tu chercher en ces lieux Toi qui cent fois fis tes adieux A l'enfance ? C'est toi la branche de bois mort, C'est toi l'oiseau, la mer, le port… Les vacances.- »
Allez ! C'était bien…Très bien. N'en parlons plus….
Je n'avais pas supporté les adolescents du film, pénibles et tètes à claques. Le film aurait due se stabiliser sur le trio Marchand/Lemaire/Ceccaldi. Même s'il y'avait quelques moments rigolos et que l'ambiance y est plutôt fraiche, la plupart du temps, les jeunes du film sont vraiment exaspérant. Comme l'était d'ailleurs par moment aussi les puceaux d'A nous les petites anglaises.
Il faut reconnaitre, à cette époque là on fait beaucoup mieux dans le genre des films vacanciers. A quoi sert-il de regarder L'hôtel de la plage quand Patrice Leconte a croqué et avec beaucoup d'incisif les français en vacances, la même année avec Les bronzés.
On a fait mieux depuis ; Camping était nettement plus drôle que L'hôtel de la plage.
C'est d'ailleurs cette semaine que sort Camping 2, qui je l'espère saura trouver la même gaieté que celle du premier film.
Je ne peux pas comparer L'hotel de la plage avec Camping ou Les bronzés….C'est drôle, ou bizarre, mais il ne me semble pas que l'on y traite du même sujet. Il n'y a pas dans les deux films que vous citez, ce côté "fin d'une époque"….Et dans camping, ou les bronzés, je ne vois pas l'ombre d'un adolescent….
C'est l'évidence même, Gilou40 ; L'hôtel de la plage ferait davantage penser à A nous les petites Anglaises, d'ailleurs…
Quant à Frétyl, qui a quelquefois bon goût (quelquefois…), comment peut-il apprécier cette indécente bouse qu'est Camping ??
Je ne suis pas seul sur Dvdtoile à l'avoir apprécié. Camping est le genre de film sur lequel il ne faut pas aller chercher d'explication intellectuelle ou d'analyse sociologique. Camping comme jadis Le Gendarme de St.-Tropez c'est de la comédie franco-française populaire pour grand public. J'ai personnellement beaucoup apprécié les personnages de Lanvin ; Claude Brasseur campeur bon vivant et ronchon n'y est pas mal, non plus ; il est mieux ici en tout cas, que s'il finissait sa carrière, comme la plupart des acteurs de sa génération, dans des théâtres parisiens pourris, à réciter des poèmes devant un public bobo.
Antoine Dulery est ma foi, bien sympathique quand à Franck Dubosc si je ne l'ai jamais apprécié sur scène il était ici supportable et amusant. Dans le genre du campeur actuel, ridicule et en permanence en maillot de bain, il est assez proche, il faut le dire, des milliers de beaufs qui peuple les campings en période estivale.
Je ne voudrais en aucuns cas rejoindre la meute qui hurle derrière vous en permanence, mon cher frétyl, mais quand même : Les théâtres Parisiens pourris, pourquoi "pourris" ? Et puis, on peut y entendre de bien belles choses. En ce qui concerne Brasseur, il est venu par chez moi, il y a peu, jouer Mon père avait raison de Guitry. Accompagné de son fils qui ne fera pas long feu, je le crains, dans le métier. La fibre artistique va peut être s'arrêter à Claude….
Camping ? Bof ! Je m'attendais à mieux. Sans aller jusqu'à la Bouse indécente de notre ami Impétueux, je n'ai pas été très emballée. Pas franchement déplaisant, mais alors là, c'est pour le coup que je prèfère largement Les bronzés !
Tant qu'aux Beaufs qui peuplent les campings en période estivale, Je voulais vous dire que tout le monde ne peut pas s'offrir les palaces de la côte…Vous êtes dur !
Je ne voudrais en aucuns cas rejoindre la meute qui hurle derrière vous en permanence, mon cher frétyl, mais quand même : Les théâtres Parisiens pourris, pourquoi "pourris" ? Et puis, on peut y entendre de bien belles choses. En ce qui concerne Brasseur, il est venu par chez moi, il y a peu, jouer Mon père avait raison de Guitry. Accompagné de son fils qui ne fera pas long feu, je le crains, dans le métier. La fibre artistique va peut être s'arrêter à Claude….
Je le reconnais, je ne suis pas un habitué des salles de théâtre. Mais il y'a quelque chose d'énervant à voir des grands acteurs, qui en leurs temps ont pu être prodigieux, finir leur carrière dans ce genre de décor pour boucler la fin du mois. Il est aussi déprimant de voir Victor Lanoux dans Louis la brocante ; Pierre Mondy dans Les Cordier, juge et flic, que de voir Marielle, Noiret, Trintignant n'être sur scène que l'ombre ce qu'ils ont été, dans des spectacles souvent ringards.
Marielle lisant des lettres d'amour ça intéresse quelqu'un ? Trintignant Lisant les poèmes de Jules Renard ça fait quand même tache quand on regarde ce qu'a été sa carrière. Il y'a aussi Jean Rochefort qui a récemment lu sur un ton solennel les sketchs de Fernand Raynaud.
Après, chacun est libre d'aimer ce qu'il veut…
Tant qu'aux Beaufs qui peuplent les campings en période estivale, Je voulais vous dire que tout le monde ne peut pas s'offrir les palaces de la côte…Vous êtes dur !
Ben pourquoi ne serais-je donc pas dur ? Que l'on passe ses vacances au camping n'oblige en rien à écouter les chansons de Patrick Sebastien, à faire la danse des canards ou à se mettre au niveau de Patrick Chirac.
Frétyl, qui, avec quelque pertinence, accable les acteurs qui n'ont de cesse que de finir leur carrière dans ce genre de décor pour boucler la fin du moi, vous avez là, par cette faute d'orthographe sans doute involontaire, fait un joli mot, et bien pénétrant !!!
La fin du moi, pour un acteur ! Et je repense avec tristesse que La fin du jour n'est toujours pas annoncée en DVD
Qui accable avec pertinence… Mais il faut bouffer, bon sang ! Je n'ai rien contre les fonctionnaires et la guerre qu'on leurs fait est ridicule. Mais un fonctionnaire travaille constamment dans une sécurité financière que même le plus grand acteur du monde ne connaitra pas. Il n'y a pas un métier plus "fragile" que celui-là. Ou peut-être les intermittemps.
Si un acteur ne joue plus, c'est la rue ou "La roue tourne" ! Ca existe encore , au fait ? Et on ne peut pas éternellement proposer à Noiret de rejouer La vie de château. Et Noiret, au théâtre, dans Love Letters, c'est bien aussi…Et puis le rideau, la scène, la poussière, le public, les applaudissements, le trac, le cabotinage et tout ce que vous voudrez, mais jusqu'à la mort….Il n'y a pas de Molière chez les employés municipaux !
Marielle, Noiret, Trintignant ne sont pas ces traîne-saucisses qui, comme le personnage de la chanson d'Aznavour ''cour(ren)t le cachet et (font) du porte-à-porte, que diable !
Assurer la matérielle, c'est, vous avez parfaitement raison, la nécessité première ; et j'ai de la sympathie mélancolique pour tous ces acteurs à côté de qui la notoriété a passé, et qui ont raté une marche et qui doivent impérativement bosser, dans n'importe quelle condition ; nous en avons souvent parlé, à propos de films infâmes, emplis de ces nécessités-là…
Ce n'est pas tout à fait pareil…
Si je n'habitais pas désormais à côté de L'hôtel en question je n'aurai jamais regardé hier cette comédie d'été qui en effet peut se laisser voir pour l'optimisme de l'époque et des acteurs en vacances.
Sinon j'ai finalement porté un œil finalement nostalgique sur la jeunesse que l'on y voit. Sophie Barjac était très belle…
Le Finistère de l'époque à rudement changé…
Mort Shuman et Sheila étaient inspirés…
On a sûrement dû vendre à l'époque plus de disques que de DVD aujourd'hui.
C'est tout ?
C'est tout !
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