Tout à fait d'accord avec Nadine Mouk et Impétueux. Pierre Tchernia, pour moi, c'est une foule de souvenirs sympathiques liés à l'enfance. L'Ami public n°1, Monsieur Cinéma, Mardi Cinéma. Et, bien sûr : La Belle Américaine, Allez France ! ou Le Viager.
Comme dirait David dans Prometheus : "bon voyage".
Je n'ai rien contre Tchernia, cependant à l'inverse de Impétueux j'avais trouvé trouvé, hormis Le viager, les trois autres comédies qu'il avait réalisé assez lourdes et grasses : La gueule de l'autre, Les gaspards et surtout Bonjour l'angoisse.
Sinon, je le croyais déjà mort.
Pour ma part, il avait disparu des écrans radar depuis très, très longtemps. Tchernia ne m'a pas marqué, contrairement à Claude-Jean Philippe. Au crédit de Tchernia, une longue activité au sein du service public télévisuel. Il a participé à l'invention de la télévision.
Vous avez oublié de citer ses collaborations à l'écriture de plusieurs Astérix.
Sa dernière participation à une émission était il me semble pour Les enfants de la télé du sinistre Arthur !
Je ne l'avais pas vu à la télé depuis au moins quarante ans, c'est dire ! On vous fait confiance.
Jeunes gens, la dernière émission de Mardi cinéma date de juin 1988, soit moins de trente ans ; il est vrai qu'à cette époque, vous aviez encore du lait plein les quenottes.
Je ne dis pas que les films de Pierre Tchernia sont des chefs-d’œuvre immortels ; mais on repassera encore souvent Le viager… et on s'en régalera toujours.
Vous me faites de la peine les hommes ! il avait disparu des écrans radar depuis très, très longtemps… Nous aussi, mon cher Vincentp, nous disparaitrons des écrans radar un jour prochain. Espérons qu'il se trouvera un site, un blog ou quelques paroissiens qui se souviendront de nous … Mais rien n'est joué .
??….Je ne dis pas que les films de Pierre Tchernia sont des chefs-d’œuvre immortels ; mais on repassera encore souvent Le viager… et on s'en régalera toujours.
Ce n'est pourtant pas ce que vous dites sur le fil du Viager, je vous cite : Je ne partage pas l'enthousiasme général, mais c'est effectivement une bonne comédie, si gentille, si consensuelle qu'on la diffuse très régulièrement et que, bien franchement, ça ne me paraît pas la peine d'acheter le DVD… Aujourd'hui, ce serait tourné pour la télévision directement…
Et vous attribuez au film une note avec laquelle je suis assez d'accord et que je trouve raisonnable : 3/6 ! Eh ben justement j'ai toujours trouvé Tchernia trop gentil, pas assez goguenard par rapport à son sujet du Viager qui avait tout pour être immoral. Le film aurait pu être une farce au lance flamme au travers de la famille Galipeau sur une France monstrueusement "profonde"… Tchernia a préféré y insérer la jolie musique de Gérard Calvi.
Ah parce que vous trouvez que ce n'est pas une charge au lance flamme ?? Bien sûr quelque peu adoucie par le talent du maître de cérémonie Tchernia, mais il serait difficile de parler du Viager plus cruellement !
Eh pourtant voila ce qui manque à ce film de la cruauté !
Mais, ami frétyl, je n'ai pas écrit autre chose que ce que j'ai écrit : Le Viager est un gentil film sympathique, qu'on a toujours plaisir de voir à la télévision (un peu comme La Boum ou À nous les petites Anglaises), un film qu'on n'achète pas mais qu'on regarde avec tendresse.
J'avais mis 3 ce qui, à mes yeux, est très convenable, d'autant que je ne distribue pas, comme le fait Vincentp les appréciations de chef-d’œuvre à tire-larigot. Si la chose était possible sur DVDToile, j'aurais peut-être mis 3,5, ce qui correspond à 11 ou 12 sur 20 ; aux temps où j'ai fait mes études, ces notes comblaient de joie ceux qui l'obtenaient (et je dois dire que si j'avais eu la moitié, ou même le quart en mathématiques, je serais rentré à la maison en pleurant de joie).
Tchernia était, paraît-il un vrai gentil et il ne faut naturellement pas attendre de lui un film à la Autant-Lara, acide et méchant.
Mais si j'ai évoqué les quatre films qu'il a tournés, c'était aussi pour faire sentir qu'à la différence d'un simple critique, il avait réalisé des sympathiques petites choses, en plus de son immense talent de vulgarisation, au meilleur sens du terme porté dans Monsieur Cinéma et ses suites.
Qu'on le veuille ou non, Claude Jean Philippe, c'est comme vous et moi, ou Vincentp : un type qui parlait de cinéma mais qui n'en faisait pas. La différence entre lui et nous, c'est qu'on le payait pour ça.
Page générée en 0.0027 s. - 4 requêtes effectuées
Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter