La police est sur les dents : c'est déjà le quatrième truand qui passe en salle d'autopsie en quinze jours. Tous tués par une arme de fabrication artisanale. L'inspecteur Bart chargé de l'enquête ne possède aucun indice sur celui que la presse a d'ores et déjà surnommé "Le Furet" tant il paraît insaisissable. « Le portrait robot du furet, c'est celui de monsieur tout le monde », ainsi s'exprimera l'inspecteur dans un aveu d'impuissance. Le furet, effectivement, n'est autre qu'un modeste serrurier qui vit de sa petite boutique entouré de sa femme et de ses enfants. Sa passion, c'est les films de gangsters qu'il visionne à maintes reprises sur son magnétoscope. Son rêve, devenir l'un d'entre eux et jouir de la possession de somptueuses bagnoles et de belles nanas. Pour y parvenir, le furet est prêt à tout. C'est de sa rencontre avec Don Enzio, un truand de bas étage, que va naître cette série d 'assassinats. Ce dernier, en effet, lui promet de le présenter au caïd des caïds : Don Salvadore (qu'il ne connaît même pas !), pour le faire entrer dans la bande. En échange de quoi il lui faudra "faire ses preuves" en exécutant quelques truands "gênants" pour les affaires de Don Anzio. Le furet va s'avérer être un élément habile et redoutable se déplaçant à travers les égouts et les tunnels du métro dans lesquels il se joue des serrures. à la demande de Don Anzio et au grand dam de Don Salvador, il va multiplier les "contrats".
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