Le plus intéressant dans Vivre pour vivre, c'est que Lelouch a capturé – volontairement ou pas ? – l'atmosphère des années 60, comme peu de films ont su le faire. On est vraiment replongé dans le passé, que ce soit au niveau du décor ou des mentalités.
Qu'est-ce que je garderais, moi, de l'oeuvre (?) foisonnante et exaspérante de Lelouch, qui conserve un nom, dans le cinéma, mais n'a plus la moindre aura ? 13 jours en France, qui rend assez justement l'atmosphère des JO de Grenoble, en 1968 (mais il est vrai que j'y vivais alors : ça peut fausser mon jugement) ; La bonne année, qui n'est pas mal du tout (mais peut-être parce que j'aime Lino Ventura et Françoise Fabian, Le chat et la souris (parce que Michèle Morgan n'y est pas mauvaise, contrairement à son habitude)…
Je me demande ce que donnerait une re-vision de Vivre pour vivre ou de Smic Smac Smoc ; je ne suis pas sûr que je pourrais regarder…
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