Mon 3 est un peu complaisant et, à dire vraiment, Les petits riens ne valent pas la moyenne, hors quelques moments réussis, et quelques mots d'esprit assez rosses et bienvenus qui doivent tout à la tradition du boulevard et de la comédie de mœurs. C'est que le scénariste et dialoguiste, Yves Mirande
est directement issu de ce monde-là et ne se refuse aucune séduisante facilité.
En fait, c'est du sous-Guitry ; ça commence un peu comme Faisons un rêve,
à une soirée de gens du monde, en habit ou en smoking, jouant au bridge et bavardant frivolités puis évoquant, chacun à leur tour les petits riens qui leur ont valu aisance ou fortune, vieux procédé des récits dans un cadre vague, prétexte à sketches inégaux (et là aussi, on songe au Guitry
de La vie à deux,
par exemple).
Le seul charme de ces films de bric et de broc est l'originalité éventuelle des anecdotes – et là on n'est guère servi – et surtout les numéros d'acteurs, inégaux par nature, mais plutôt réussis…
Un jeune peintre de grand talent (Claude Dauphin)tres facile de critiquer: MIRANDE RESTERA COMME L'UN DES SCENARISTES ET REALISATEURS QUI AURA MARQUE SON EPOQUE. la merveilleuse journee 1932; baccara; a nous deux madame la vie; messieurs les ronds de cuir; ect . Nos realisateurs et cie ont de la graine à prendre .
Pour une fois, je vous réponds, denis/, habituel crétin ignare à pseudonymes fluctuants, avatar ronchon des tarés qui polluent le site ; je vous réponds, puisque c'est la veille des Rameaux, mais je vous effacerai tout à l'heure, ou ce soir, ou demain, ou peut-être jamais, si ça me chante…
C'est vraiment ne pas savoir lire ou plutôt faire preuve d'une de ces mauvaises fois qui ressemblent à de la bile amère que de voir dans mon propos une critique vive du sympathique Yves Mirande ! Et être un Guitry
de moindre format n'est nullement insultant, nullement…
Vous citez, au rang de ses films – dont vous allez chercher la nomenclature sur notre site ou Imdb, sans évidemment les avoir vus et moins encore commentés – vous citez Messieurs les ronds de cuir sur qui je déposerai prochainement un message, et Baccara,
de qui j'ai déjà parlé, lui trouvant, d'ailleurs – est-ce étonnant ? – une parenté avec le Guitry
de Ils étaient neuf célibataires
…
Si vous étiez autre chose qu'une pauvre nullité solitaire et frustrée, nous pourrions bavarder sur ressemblances et dissonances des deux auteurs ; mais vous n'êtes rien que frustration baveuse.
Fichez le camp : vous ne faites pas le poids.
Mais c'est votre faute aussi, Denis/ !! On ne sort pas des trucs pareils la veille des Rameaux quand on sait que l'Ecclésiaste rôde !! Et pourquoi pas Godard !
pour \Lagardère
Page générée en 0.0050 s. - 5 requêtes effectuées
Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter