Cherchant désespérément à tenir la dragée haute à Jarriq qui affirmait l'autre jour qu'il n'y a pas un seul grand film dans la filmographie de Louis De Funès, j'ai revu L'Homme orchestre, dont je conservais un excellent souvenir. Et ma foi, avec raison !
Ici ombrageux maître de ballet pour un ensemble féminin de type ballet-jazz extrêmement seventies, Louis De Funès danse, chante, se déhanche, swingue même, fait la pantomime du loup et de l'agneau entièrement en grimaces et bruitages, se glisse nuitamment dans la chambre d'une ballerine pour lui faire une séance d'hypnothérapie maison ( « J'adore la danse, j'adore la danse, j'adore la danse… », sussure-t-il à l'oreille de la jeune femme qui sourit dans son sommeil), a recours à l'écoute électronique puis à la manipulation de bande enregistrée pour couper cours aux amourettes intempestives de ses protégées…
Des nombreux personnages interprétés par l'hystrionique énergumène, celui du chorégraphe Evan Evans est à mon avis le meilleur casting de tous, même si ça semble inattendu. Vraiment, ça lui va comme un gant; et de surcroît, le contexte musical lui confère une légèreté inhabituelle. Ce film est un simple divertimento, une bulle de savon, mais très agréable. Je ne me suis pas ennuyé une seconde. Les chorégraphies sont charmantes, les musiques de François de Roubaix fort enlevées, il règne sur l'ensemble un climat de fantaisie contagieuse et même un grain de folie. En groupe, les jolies ballerines constituent un adversaire à la mesure du redoutable Fufu (qu'un membre du personnel de l'hôtel parvient d'ailleurs à calmer, lorsqu'il est sur le point de piquer une crise, en imitant des chants d'oiseaux), et last but not least, parmi les comparses, on a le plaisir de voir surgir soudain Tiberio Murgia, qui nous refait son numéro du Sicilien lancé par Le Pigeon
et La Grande guerre
…
C'est un film au rythme trépidant, avec des trouvailles originales (la leçon de judo qui devient chorégraphie nippone, le gérant d'hôtel qui fait dans la sculpture moderne…) Peut-être pas un grand film, mais un classique tout de même, et sans aucun doute un grand comique. J'ai même failli mettre 5, c'est dire ! À nous deux, Jarriq !
C'est vrai que "l'homme orchestre" est un film particulier dans la carrière de Fufu, la télévision le boude un peu au niveau des rediffusions, Fufu montre des facettes surprenantes dans un cheminement de carrière bien souvent basiques.
Cher Arca… Aveuglé par le talent de "Fufu", reconnaissant de le voir ainsi se donner à fond, tu confonds un peu plaisir immédiat, et valeur réelle. Ce que tu dis de L'homme orchestre, on peut le dire de presque tous les films de Louis de Funès
: je ne suis pas le dernier à avoir acheté un nanar honteux (Le grand restaurant,
tiens au hasard !) pour le voir se courber en huit, en se frottant les mains, et en gémissant d'obséquiosité devant un ministre, ou pour le voir en chemise de nuit ridicule devenir fou avec son pendu dans Fantômas contre Scotland Yard,
ou encore péter un câble dans Hibernatus.
L'affection qu'on a pour le bonhomme incite à l'indulgence, c'est plus qu'évident. Mais de là à affirmer que L'homme orchestre
est un bon film… Il faut savoir raison garder, comme dirait notre président.
Je crois bien que j'avais posé la question initiale, sur le fil de Courte-tête m'interrogeant sur l'éventuelle existence d'un chef d'oeuvre reposant sur Louis de Funès
; PM Jarriq et quelques autres avaient conclu, comme moi, par la négative…
Continuons dans l'iconoclasme : Funès, comme Darry Cowl
est plus que capable d'étourdissantes et folles séquences : le drame est que l'on ne peut étendre à 90 minutes ce qui en dure – au maximum ! – dix. Pour la qualité des films, mieux eût valu qu'il restât confiné dans ses seconds rôles éblouissants ; pour la grosseur de son compte en banque, évidemment non !
Le specialiste du Chef-d'Oeuvre universel et intemporel c'est Vincentp. Lui seul a le droit et le privilege de les désigner. Jarriq, Impétueux et les autres ne sont que des imposteurs. J'ai renoncé également excepté une fois pour Fanfan la Tulipe davantage pour enrager Impétueux. ;)
De Funes a joué dans bcp de comedies francaises, souvent bonnes à tres bonnes dans mon agenda.
Il a souvent abusé sur la fin de son style disons impétueux avec ses origines espagnoles.
Reste que ca n'a pas tjs été le cas, je pense à Les Bons vivants
(1964) ou dans un style plus inquiet que nerveux dans le sketch Un gros lot issu Les Veinards
(1963).
Ses deux duo avec Bourvil
dans le Corniaud
et la grande vadrouille
resteront je pense ses lettres de noblesse.
Côté comedie italienne, n'oublions pas ses deux duo avec Totò, I Tartassati
et Totò, Eva e il pennello proibito
même si c'est davantage dans le registre comique que la comedie al'italienne cher à Arca.
« Ce que tu dis de L'homme orchestre, on peut le dire de presque tous les films de Louis de Funès »
Ah, mais celui-ci est un peu à part dans sa filmographie, parce que c'est un musical. Le comique de Louis de Funès n'est vraiment pas celui que je préfère. Mais L'Homme orchestre
est probablement son film le plus original et où son style trouve le meilleur exutoire.
C'est bien ce que nous disons tous : pour les plus indulgents d'entre nous, Funès a tourné quelques bons films, aucun grand film….encore moins un chef-d’œuvre…
Bon, ça va, je rends les armes. (Et puis quoi, passer du temps à défendre un cinéma comique français sympathique certes, mais évidemment très mineur comparé à ce qui s'est fait de l'autre côté des Alpes…)
En parlant d'Alpes, on peut se prendre à rêver de ce qu'aurait pu donner la collaboration de Louis de Funès avec un Dino Risi,
ou un Monicelli,
voire un face à face Fufu-Gassman,
quand ils étaient tous au sommet de leur art… C'est sûr que Girault
et Korber
et Dhéry,
ça fait moins rêver, tout de suite !
« En parlant d'Alpes, on peut se prendre à rêver de ce qu'aurait pu donner la collaboration de Louis de Funès avec un Dino Risi, ou un Monicelli, voire un face à face Fufu-Gassman… »
Ah oui, ça fait rêver. Mais dans la réalité, il existe deux face à face Totò-De Funès
… que je n'ai vus ni l'un, ni l'autre.
Les Oury, des "grands films" ? A mon sens, non. Mais ça se discute. Ce sont d'indiscutables succès populaires, de vraies machines à faire rire, mais personnellement le goût du réalisateur pour les poursuites interminables, les voitures concassées, le gag visuel primaire (le chewing gum dans Les aventures de Rabbi Jacob,
Salluste se transformant en Napoléon dans La folie des grandeurs,
etc.) ne m'ont jamais amusé. Les films tiennent uniquement par l'alchimie incroyable du tandem de comédiens, et d'ailleurs sans eux, Oury
n'a jamais retrouvé l'état de grâce. Malgré son succès au box office, L'as des as
est irregardable, et ne parlons même pas du remake du Schpountz,
ou du nanar avec Clavier.
Et revus aujourd'hui, ces Oury – à part peut-être Le corniaud –
laissent une pénible impression : celle d'avoir beaucoup ri à l'époque (j'en témoigne !) pour pas grand chose…
Le fait est que j'ai vu Le Cerveau récemment (je ne l'avais jamais vu) et c'est vraiment de peine et de misère que je me suis rendu jusqu'au bout. On me dira que c'est dû au fait que je n'ai aucun humour, mais ce n'était vraiment pas drôle, sauf en de rares moments par ci par là (comme l'exposé du grand coup de David Niven
en dessins animés). Même Eli Wallach
en pseudo-mafieux m'a énervé. C'est une chose d'être Français – bien que je n'aie pas moi-même cet incroyable privilège – et une autre d'être Franchouillard. Par contre j'avais plutôt apprécié le modeste Fantôme avec chauffeur,
qui a pourtant été un flop en France. Allez comprendre…
Oui… Celui-là, c'est parce qu'il y a Noiret dedans, Arca !
La conclusion de ces échanges impose à DVDtoile de proposer aux éditeurs de tous les films cités la mise au point d'un Dvd d'anthologie fait des séquences cultes et intitulé Morceaux choisis / Pot-pourri de Louis de Funès. Ce qui aurait pour autre avantage de nourrir un débat indispensable : chaque participant proposant sa séquence et expliquant les raisons de son choix ferait ainsi progresser – chacun en conviendra – l'Histoire du cinéma !
Personne ne dit, que ce film est inspiré par les films musicals de Jacques Demy comme "Les demoiselles de Rochefort".
Hum, d'après moi, il est plus probablement inspiré de films musicaux que de films musicals.
Je ne suis pas de ton avis… Qu'est ce que tu viens critiquer les films de Gérard Oury ?? La plupart font partie des meilleurs films français… C'est sûr qu'après la disparition de Louis de Funès et Bourvil, il n'a plus eu le succès comme auparavant… Mais tu dis que ces films sont des nanars… Désolé, mais ils sont appréciés du public… Si tu te fondes sur les critiques, tu ne dois jamais aller au cinéma alors… Tous les films se font descendre… Ca dépend des critiques… Mais y a quand 1 517 000 français qui ont été voir le "nanar" comme tu dis… Ca prouve qu'ils s'en foutent des critiques… Ca me fait rire qu'on se referre à ça. Je préfère visionner un bon Oury plutôt qu'un Luc Besson… Les films de Gérard Oury sont simples, et comme il aimait le dire lui meme, il veut faire passer un message au travers de ces films et s'inspire toujours d'un évènement survenu et c'est bien vrai quand on regarde l'ensemble de sa filmographie… Dans le corniaud, il s'inspire d'une affaire très célèbre à l'époque : l'affaire "Angelvin" : Un présentateur TV a été arrêté à la douane, avec une voiture qui contenait de la drogue. Dans "La grande vadrouille", c'est le premier film français comique sur la seconde guerre mondiale. Dans "Le Cerveau", il s'inspire du hold up Glasgow Londres dont il est fait référence dans le film et a crée le hold up Paris Bruxelles. Dans "La folie des grandeurs", il s'inspire du "Ruy Blas" de Victor Hugo. Dans "Les aventures de Rabbi Jacob", la guerre du Kipour a éclaté à ce moment là et il a fait référence à ses origines juives, vu que son vrai nom de famille était Tannenbaum. Dans "La carapate", les évènements de mai 68… Dans "Le coup du parapluie", il s'inspire d'un fait divers : deux hommes en visite officielle à Paris ont été tué par un parapluie contenant une seringue empoisonnée. Dans "L'as des as", il s'inspire du célèbre Georges Cavalier, pour en faire un Jo Cavalier. Dans "La vengeance du serpent à plumes", on voit les chefs d'état de diverses nations se réunir au Mexique, ce qui s'est réellement passé. Dans "Lévy et Goliath" : la communauté juive d'Anvers… Dans "Vanille Fraise" : Le scandale de l'explosion du "Rainbow Warrior"… Dans "La soif de l'or" : la fraude fiscale… Et quant au schpountz, malgré que ca n'ait pas eu de succès, je trouve que c'est un bon film et j'adore le regarder Avant de critiquer, regarde bien les autres films…
10 réalisateurs importants dans le cinéma français : Claude Zidi, Georges Lautner, Gérard Oury, Claude Lelouch, Claude Berri, Henri Verneuil, Luc Besson, Jean-Marie Poiré, Francis Veber, Claude Autant Lara
Assez d'accord avec vous, pour dire que Le corniaud et La grande vadrouille
sont de bons films de Gerard Oury.
Mais la fin de carrière de l'artiste a quasiment commençé à la mort de De Funés.
Pour ce qui est de La vengeance du serpent à plume,
Le schpountz
ce sont là les pires navets qu'ait pu réalisé Oury
sans doute fatigué dés le début des années 80 ; le sinistre Lévy et Goliath
en témoigne. Sans De Funés
le cinéma de Gerard Oury n'a plus aucun intérêt !
Quand à L'homme orchestre j'en garde un bon souvenir, surtout pour voir De Funés
raconter comme personne Le loup et L'agneau.
le cinéma que monsieur djogeo semble défendre est en général à l'audiovisuel ce qu'un beau cendrier en céramique de Nevers est à l'art plastique…Cette liste, des meilleurs réalisateurs français que vous faîtes, est vraiment risible…non, il ne s'agit pas de goûts et de couleurs…il s'agît d'incapacité à se servir d'une caméra pour faire de l'art…on peut préférer Robert Bresson à Maurice Pialat…mais on ne pas préférer Claude Zidi à Eric Rohmer…éviter de parler de cinéma: le cinéma s'en portera mieux.
J'ai assisté hier à un très beau concert de jazz contemporain, consistant à dérouler des musiques et chansons composées par François de Roubaix, figure de la musique de film français des années cinquante à soixante-dix, connu pour la qualité, le caractère prolifique, la sophistication de ses compositions. Et l'emploi aussi dès les années 1970 des synthétiseurs. La musique de L'homme orchestre
est particulièrement réussie. Sans doute bien plus que le film !
"La musique de L'homme orchestre est particulièrement réussie. Sans doute bien plus que le film !"
Hélàs ce fut souvent le cas pour De Roubaix: composer des musiques pour des films qui ne méritaient pas ses B.O. Mais idem pour Morricone..
J'espère que vous n'évoquez pas Les aventuriers… Pour ma part, je ne pense pas que Le roi lion
méritait Can you feel the love tonight !
Tout à fait d'accord avec Alholg. Il s'est situé à la confluence de la musique classique, rock, jazz, variété, électronique, ce qui le rend très moderne aujourd'hui, et source d'inspiration pour de nombreux groupes dont le quintet très talentueux que j'ai écouté hier. Autre particularité : la variété des instruments mis en oeuvre. Son morceau emblématique sans doute pour le grand-public : La scoumoune. Mais bien d'autres compositions marquantes (dont un "Chapi-Chapo" qui aura marqué les bambins des années 70)… Malheureusement pour nous, François de Roubaix est décédé en 1975 à l'âge de 37 ans.
Il avait sans doute encore beaucoup de belles partitions à livrer.
Il disparut d'ailleurs avant de remporter un grand triomphe (hélàs posthume donc): le césar pour la bande originale du Vieux fusil.
C'est vrai ce que vous dites, et dont je n'avais pas pris véritablement conscience : des musiques dont on se souvient durablement pour des films qu'on préférerait oublier ou n'avoir jamais vus (Les aventuriers, La scoumoune,
Ho,
Adieu l'ami,
Le rapace)
, et on ne se souvient pas, ou peu, des musiques qu'il a écrites pour les bons (Les grandes gueules)
ou grands (Le samouraï)
films.
Bizarre, non ?
Reste, évidemment, la mélodie triste du Vieux fusil, aussi émouvante que l'est le film d'Enrico
… Prémonitoire ?
L'exemple que j'avais en mémoire, c'est le thème qu'il a écrit pour Les suspects de Michel Wyn qui est superbe alors que le film est tout à fait quelconque.
Durant sa courte carrière il est surtout resté fidèle au tandem Giovanni-Enrico
qui a fait des films tantôt très bons, tantôt beaucoup moins bons..
« …et on ne se souvient pas, ou peu, des musiques qu'il a écrites pour les bons (Les grandes gueules)… »
Affirmation fort hasardeuse que voilà ! J'ai "toujours" connu par coeur la mélodie à la guitare des Grandes gueules, vu pour la première fois à Radio-Canada quand j'étais petit, et quand j'ai enfin mis la main sur le DVD – sorti au Québec ces dernières années comme beaucoup d'autres films français – c'est la première chose que j'avais en tête.
Vous ne me croyez pas ? Qu'à cela ne tienne, je vais m'exécuter :
Pom po-po-pom pom pom pom pom
Pom po-po-pom pom pom pom pom
Pom po-po-pom pom pom pom pom
Pom po-po-pom pom pom pom pom
Là, vous voyez bien ! La preuve est faite.
des musiques dont on se souvient durablement pour des films qu'on préférerait oublier ou n'avoir jamais vus (Les aventuriers)… Vous êtes dur !
D'une part je constate, en voyant la fiche des Aventuriers, que vous donnez 4/6 à un film que vous préféreriez ne jamais avoir vu (!), ce qui est déjà assez étrange, et d'autre part, il ne faut pas oublier que les compositeurs écrivent leurs partitions en fonction de ce qu'ils voient ! Et critiquer des films ne méritant pas leurs musiques revient à douter du goût de ces compositeurs là ! C'est possible, j'ai moi-même cité Elton John,
mais c'était pour un dessin animé. Mais François de Roubaix
se serait' il nourri et inspiré d'images fadasses et insipides ?
Si j'ai mis 4/6 aux Aventuriers, c'est que je devais être ce soir-là dans une de mes rares journées bienveillante e humanistes. Le film ne vaut pas tripette.
Hélas, et bien sûr, François de Roubaix écrivait n'importe quoi pour n'importe qui… Parce qu'à la racine de tout, il faut bien avoir un compte en banque approvisionné. Si nous commencions à citer des grands acteurs qui ont tourné n'importe quoi pour le fric, nous n'en finirions pas. ..
j'ai écrit qu'il était curieux que le talent magnifique de François de Roubaix se soit surtout manifesté pour des films de deuxième zone, dont sa musique est, de loin, le meilleur….
C'est tout et ça ne va pas plus loin. L'image de l'artiste maudit qui ne se compromet pas avec son banquier est non seulement obsolète, mais totalement fausse. Proposez à la plupart d'entre eux une somme suffisante, ils vous tourneront ce que vous souhaitez…
Comme n'importe qui, d'ailleurs ; voyez, si vous ne l'avez jamais fait, l'admirable Une vie difficile de Dino Risi
: de l'industriel douteux au journaliste intègre : Je suis payé 5000 lires et je ne retirerai pas l'article pour 50.000 lires ! Et l'industriel : Mais pour 5 millions de lires ?….
Tout est dit. Rideau.
Il y a pourtant une explication fort simple. François de Roubaix a forcément commencé par des films modestes, à ses débuts (âgé d'une vingtaine d'années). Au début des années 1970, sa côte a grimpé et l'on voit que les films auxquels il a collaboré deviennent plus prestigieux. Il est mort malheureusement pour lui pile au moment ou il accédait à la notoriété (âgé de 36 ans, d'un accident de plongée) et à reçu un César posthume pour sa contribution à Le vieux fusil (première cérémonie des césars, à une époque aussi ou les contributeurs divers -décors, costumes, musiques etc…- se voient reconnaître formellement leur contribution). Sans cette fin dramatique, ce compositeur aurait probablement continué à progresser (sa notoriété de pair) avec pourquoi pas une reconnaissance outre-Atlantique, et la possibilité de choisir ses contributions, forcément pour des films de qualité. Replaçons donc le parcours de F de Roubaix dans son contexte !
D'autre part, s'il y a une reconnaissance aujourd'hui pour de Roubaix, c'est bien celle du monde de la musique car ses compositions continuent de vivre à travers les âges (cd, concerts). C'est là le privilège des artistes ! Ce que je fais au boulot (la mise en place d'un progiciel de paie) a quant à lui une durée de vie qui ne dépasse pas les cinq ans…
Très déçu !
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