Forum - L'Évadé du bagne - Les Misérables - Allez hop ! Gino Cervi en Jean Valjean...
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Forum : L'Évadé du bagne - Les Misérables

Sujet : Allez hop ! Gino Cervi en Jean Valjean...

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De Arca1943, le 21 novembre 2006 à 04:30

…pourquoi pas ! Gino Cervi est un grand acteur, capable de tout faire, disponible pour des films aussi différents que La Dame aux camélias et La Dame sans camélias (tournés tous deux en 1953 !). Peut-il passer pour un français ? Eh bien, il paraît qu'au théâtre, il a triomphé en Cyrano de Bergerac sur une scène parisienne. Alors, vous voyez bien… Et en plus, sur ses vieux jours, il a joué dans l'adaptation italienne de Maigret… Bref, comme je disais, pourquoi pas ! Ça sera toujours mieux que la version avec Depardieu !

Et puis en plus, je n'ai toujours pas de Riccardo Freda dans ma collection, car Théodora, impératrice de Byzance n'est toujours pas sorti en DVD – mais comment cela se fait-il !?!?! – alors je vote pour celui-ci. Peut-être que j'aurai plus de chance…


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De droudrou, le 21 novembre 2006 à 05:37

Une fois encore j'apprécie la liste des avis : Après "L'Evadé du bagne", Le Christ, l'Idéaliste, s'est arrêté à Eboli" pour "Le Grand pardon". Avec tout une série semblable, je me pose la question de savoir qui est l'évadé du bagne. En un temps, il fut Elvis Presley qui avait fait le roc..k du bagne.


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De droudrou, le 21 novembre 2006 à 05:43
  • Ecoutez-les, Seigneur ! Peponne en Jean Valjean ! On aura tout vu !
  • Mais, don Camillo, Gino Cervi est très bien. Surtout quand il joue au "Tottocalcio", qu'il gagne sous le nom de Pepinno Spatzebuto, anagramme de Peponne Botazzi. Je n'ai pas les ortographes de nom en tête…
  • Ah, Seigneur, vous avez tant de choses à penser !…

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De Impétueux, le 21 novembre 2006 à 10:12

Un message à 5h37, un autre à 5h43, aux heures où l'honnête homme (européen) repose du sommeil du Juste ! Vous nous étonnez, Droudrou… mais si vous vous instituez émule de Don Camillo, les choses s'éclairent un peu et vos vertueuses prières pour ramener dans le droit chemin des sacripants de DVD Toile (au premier rang desquels je place Arca et Vincentp !) sont les bienvenues.

Ah ! A propos, je vote pour une édition en DVD de L'évadé du bagne à la fois pour Riccardo Freda et pour Gino Cervi ; voilà un saint incontestable que ce Jean Valjean !


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De droudrou, le 21 novembre 2006 à 10:22

Mon cher Impétueux : nécessité fait loi – je me suis levé très tôt ce matin parce que j'avais un dossier à mettre à jour et qui concerne les travaux de la maison – avant d'aller en contentieux – avant de me mettre au boulot, tout buvant mon café (et il est très bon en plus) je me suis dit que j'allais voir quelles élucubrations dans la nuit étaient venues s'ajouter à celles déjà nombreuses qui paraissent ces temps derniers – vous verrez quand vous serez retraité… vous n'aurez plus une minute à vous ! – Amicalement.

Vous êtes un saint homme qui reconnaissez en Gino Cervi qu'il est touché par la grâce divine. Je n'ai pu résister à la tentation de mettre tout un chacun en boîte (d'autant que ce n'est pas pour enterrer le débat…).


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De PM Jarriq, le 21 novembre 2006 à 10:28

Peppone en Valjean… A voir. De toute façon, le pire des pires (celui de Dayan est comme toujours, hors concours) reste Liam Neeson dans une version indescriptible de Bille August, avec dans le rôle de Fantine… Uma Thurman ! On n'est pas loin de Mel Brooks.


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De droudrou, le 21 novembre 2006 à 15:06

Bien que nous ne soyons pas sur le forum des Misérables… moi je suis assez d'accord avec Liam Neeson et Uma Thurman. Revenant du bagne de Cosanostra (Nouveau Mexique) John Valjean chevauche le désert Texan et croise un petit gardien de troupeau de moutons, little Gervais de la city of Danone… Le méchant sheriff, le vilain Quentin Tarantino, alias Javert, se lance à sa poursuite jusque la Californie où John Valjean a planté du raisin et vend une espèce de tors boyaux appelé Champêgne of California…


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De Arca1943, le 9 février 2008 à 06:17

Fort curieusement, dans toutes ces versions des Misérables, personne n'a encore pensé à mentionner celle de Tomu Uchida, Jean Valjean : Zengo Hen (1931) – sûrement parce que ça va tellement de soi, et tellement universelle la réputation du maître de Le Mont Fuji et la lance ensanglantée qu'on n'y songe même plus…


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De colyre, le 15 septembre 2012 à 13:17
Note du film : 6/6

OUI, mille fois OUI, pour cette interprétation de Gino Cervi dans I miserabili / Tempesta su Parigi de 1947 !

Ici, comme dans toutes ses interprétations, que ce soit en Peppone ou en Maigret (pour moi une des meilleures versions du policier) et bien d'autres films (qu'ils soient historiques, comiques, dramatiques) il est vraiment un acteur né !

Ce qui ressort chez lui, c'est qu'il n'y a jamais aucune lourdeur morale dans sa façon de jouer, comme je le ressent trop souvent chez Gabin ou Lino Ventura (même si j'apprécie beaucoup ces acteurs, mais dans un tout autre genre). Gino Cervi n'a certainement pas cette lourdeur dans le personnage de Jean Valjean. C'est, à mon avis, cela qui fait de lui un si grand acteur dans tout ce qu'il a joué.

Pour moi, ce film est une merveille. Rien que la musique du film, les images, les dialogues.

Hélas, trois fois hélas, il y a très peu de vote POUR lui. Je crains fort que peu de films avec Gino Cervi des années 30, 40 et 50 ne sortent jamais en DVD.

Colyre


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De Tamatoa, le 15 septembre 2012 à 20:37

Hélas, trois fois hélas, il y a très peu de vote POUR lui

Il n' y a surtout pas le votre ! Je ne connaissais pas cette version avec Gino Cervi.


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De Colyre, le 15 septembre 2012 à 20:46
Note du film : 6/6

Oui, mes excuses, je ne suis pas habitué, c'est mon premier contact forum.

Colyre


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De Arca1943, le 15 septembre 2012 à 21:12

« …un si grand acteur dans tout ce qu'il a joué. »

Grand comédien au long cours, que les Français tendent trop souvent à réduire à l'inoubliable Peppone. J'ai vu récemment Gino Cervi dans deux films de fin de carrière, tournés à peu de distance: La Longue nuit de 43 (1960) et Années rugissantes (1962). Dans les deux, il joue un hiérarque fasciste, mais comme le premier film est une tragédie et l'autre une comédie, c'est bluffant de constater comme il pouvait être à l'aise dans des registres différents.


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De Tamatoa, le 15 septembre 2012 à 22:15

Grand comédien au long cours, que les Français tendent trop souvent à réduire à l'inoubliable Peppone. ….et que j'ai si longtemps confondu avec Folco Lulli..


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De Colyre, le 15 septembre 2012 à 23:20
Note du film : 6/6

Oui, en effet, c'est l'idée que j'en ai : implacable dans la "longue nuit de 43" et si différent dans le registre comique.

Autre film, autre époque, et dans un tout autre genre, "Gli uomini non sono ingrati" de Guido Brignone (1937), rempli à la fois de sympathie et de finesse, nous démontre un Gino Cervi tout jeune, mais déjà bien reconnaissable dans sa façon de mener son affaire.

Ce film semble ne pas provoquer beaucoup de réactions de la part des critiques. Je l'ai visionné plusieurs fois, et eu à chaque fois beaucoup de plaisir à le revoir.

A ce jour, ce film n'est plus trouvable sur le net, même pas quelques photos. Quelqu'un aurait-il une information à son sujet ? Merci d'avance.

Colyre


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De Colyre, le 16 septembre 2012 à 17:45
Note du film : 6/6

Bonjour

Vous avez raison de nous parlez de Folco Lulli, ce merveilleux second rôle : les seconds rôles sont trop souvent oubliés ou plus exactement moins bien connus du grand public et à tort, un public qui donne pourtant son avis sur pas mal de films via Internet, nous le remarquons bien, et qui par ce biais pourrait faire revivre quantité de trésors du cinéma en y apportant leurs votes afin d'en espérer la version en DVD.

Parlons ainsi d'acteurs / d'actrices comme Jeanne Fusier-Gir, Sylvie, Simone Sylvestre, Jacques Varennes, Suzie Delair, Colette Darfeuil, Henri Vilbert, Noël Roquevert, et tant d'autres. Et je ne parlais ici que des années 30, 40 et 50, mes décennies de prédilection, il est vrai.

Pour revenir au film "I miserabili" il faut noter les seconds rôles de Valentina Cortese (Cosette) et Giovanni Hinrich (Javert): impécable interprétation.

Colyre


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De Nadine Mouk, le 31 janvier 2016 à 01:30
Note du film : 2/6

Je n'ai pas la prétention d'avoir vu les quelques trente deux ou trente trois versions cinématographiques (car il y en a eu aussi télévisuelles) des Misérables, en comptant les Japonaises, Arabes, ou Chinoises. Mais pour qui a visionné les trois plus célèbres, à savoir la version de Raymond Bernard en 1934, avec Harry Baur, celle de Jean paul le Chanois en 1957 avec Jean Gabin ou encore la version de Robert Hossein en 1982 avec Lino Ventura, (et je laisse de côté la très curieuse et passionnante adaptation qu'en a fait l'original fouineur Claude Lelouch avec un Belmondo quelque peu dépassé) je me suis trouvé fort dépourvue quand celle de Riccardo Freda fut venue, un soir au cinéma de minuit, il y a peu de temps. On a l'habitude de dire que certaines versions cinématographiques ne font que survoler le roman éponyme. Sauf que là, ce n'est plus un survol. C'est une vague esquisse.

Le moins qu'on puisse en dire, c'est que Riccardo Freda ne s'encombre pas de détails et de fioritures. Nous sommes là dans l'asepsie la plus complète. Nettoyées, désinfectées, poncées, que reste t-il des aventures de Jean Valjean ? A t-on vu bagnard au visage si lisse ? A t-on connu un Monsieur Madeleine au visage si rond et inexpressif à ce point ? Bien que là, je me trompe un chouilla. Gino Cervi, impassible, statufié d'un bout à l'autre du film, nous gratifie en permanence d'un regard illuminé, comme hypnotisé, les yeux ronds comme tasses à café ressemblant au regard qu'il aurait eu un ticket de loto gagnant à la main . L'affiche en haut à gauche n'est en rien exagérée. Aucun des personnages n'est dans son rôle ! A moins que je ne m'accroche trop à ces versions mille fois vues et revues . Peut-être. D'autre part, il y a dans Les misérables des scènes clés. Parlons des Thénardier : Non seulement ces bistrotiers là ne feraient pas de mal à une mouche, mais notre Jean Valjean n' y fait qu'un très rapide aller-retour. De ceux que l'on faisait quand on s'arrêtait par erreur dans un restaurant Jacques Borel. Un certain Luige Pavèse et une certaine Jone Romano ont l'air de s'en foutre éperdument. Parcontre, et arrêtons nous sur elle deux secondes, la petite Cosette jouée par l'adorable Ducia Giraldi est une enfant d'une beauté sans égale. Dieu qu'elle est mignonne ! Elle est bien la seule lumière de ce film. Plus tard, dans les bras d'un Marius loin d'être inspiré, on pensera que la nature s'est gourée en cours de route. Gavroche ? Oui mais alors très vite, comme tout le reste . La faute à Voltaire ou à Rousseau, y connait pas. Il ramasse quelque cartouches, tombe et basta: "-Mettez le avec les autres !-''.

Autre scène culte, Jean Valjean portant Marius sur ses épaules dans les égoûts de Paris. Là je dis halte ! Permettez ! Si les égoûts de Paris sont comme dans ce film, je vais y passer mes prochaines vacances. Parce que dans ces égoûts là, il y a peu de chance de croiser le moindre rat. Et valjean ne se traine pas dans la puanteur que l'on imagine. Je ne vous dirais pas que l'eau qui y coule ressemble à mon gave tant chéri parce qu'il est pollué comme c'est pas permis (malgré l'extase des touristes) mais il est à parier que nous sommes là, au moins dans les sous-sols de la Balnéo de Luchon ou de Vittel. Cette eau là, Valjean peut la boire tranquille. Jamais un étron, de quelque nature soit-il, ne s'aventurera à glisser sur cette onde là. Vous parlerais-je des murs, immaculés, blanchis . En voyant cette scène hallucinante, je me suis dis que Valjean se trouvait peut-être dans les sous-sols de la maison futuriste de Mr et Mme Arpel du film Mon Oncle de Jacques Tati, assainie, stérilisée …

La scène des barricades à présent : Elle trouve grace à mes yeux par l'esthétisme avec laquelle elle nous ai, pourtant encore trop vite, contée. Avec, comme il est dit sur ce fil, une musique de toute beauté. Nous vivons là, dix petites minutes très agréables. Mario Monicelli, adaptateur, se serait-il révéillé tout à coup ? Le repentir de Javert, si mollement joué par un certain Hans Hinrich passe à la trappe lui aussi. Même Jean Valjean, toujours son ticket gagnant à la main, n'en revient pas ….Quant' au final, la mort de Jean Valjean, où est donc passé le talent d'un Gabin mourant auprès de sa cosette ? Ou est donc passée la voix de l'immense Jean Topart disant de sa voix inimitable l'épitaphe de sa tombe ? Ce n'est pas ce qu'il serait convenu d'appeler un mauvais film. Mais réduire l'oeuvre de Hugo à cette ébauche squelettique relève de la naiveté la plus étrange qui soit. Je ne voudrais pas insisté lourdement, mais ces Misérables là semblent être une parodie . J'ai bien conscience d'aller à l'encontre de l'engouement général, mais j'ai vu ce film comme ça … J'ai reconnu Les misérables : Parce que j'ai lu le livre et vu quelques adaptations. Mais montrer ce film à des écoliers ou à des lecteurs pour leurs faire connaitre Victor Hugo serait une hérésie …Allez hop ! Gino Cervi en Jean Valjean… nous dit le titre de ce forum : Peut-être … Peut-être pas.


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De vincentp, le 8 février 2022 à 22:40
Note du film : 6/6

Riccardo Freda excelle pour bâtir des personnages, y compris secondaires, au sein de leurs lieux de vies. La maison de l'évêque possède une âme paisible, havre de paix, protégé des éléments extérieurs. Le couvent de la bonne soeur est un refuge paisible, entouré par un jardin édénique, ou il fait bon vivre, à l'abri des dangers. Proche, la forêt, baignée par la lumière, est un espace quasi-divin, béni des dieux. Mais les deux personnages principaux (Javert et Valjean) décrits par Ricardo Freda, refusent toute sédentarité, sont portés par des mouvements incessants, un mode de pensée énigmatique (pourquoi Javert poursuit-il Valjean qui a effectué sa peine ?), et prennent le chemin de l'aventure. Cette version des Misérables met en scène des aventuriers qui ont la bougeotte. Mouk, ci-dessus, n'a logiquement pas retrouvé la veine sociale de Victor Hugo… On est plutôt dans du Alexandre Dumas.


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De Impétueux, le 9 février 2022 à 14:09

Comment pouvez-vous écrire, Vincentp la phrase pourquoi Javert poursuit-il Valjean qui a effectué sa peine ?. Vous ne me ferez pas croire que vous n'avez ni lu le roman (au moins dans sa version abrégée) ni jamais vu une des multiples adaptations ?


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De fretyl, le 9 février 2022 à 17:44

J'ai du mal à croire ce que je lis et au vu des messages de Vincentp et de Tamatoa je doute de la qualité et de la fidélité de cette adaptation de Victor Hugo.

On peut faire ce que l'on veut avec Les Misérables… Qu'ils soient Actuels, ou Lelouchien ou Américains … L'histoire quasi religieuse est source d'inspiration très profonde.

Nombre d'aptations furent très décevantes. J'avais trouvé vraiment prétentieuse la version donnée par Robert Hossein, malgré un casting parfait… Le pire que j'ai pu voir fut l'adaptation de TF1 avec Gérard Depardieu et Christian Clavier (Jacqouille la fripouille) en Thénardier !

Quand à vous Vincentp… Lisez Hugo !


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De Impétueux, le 9 février 2022 à 19:50

Frétyl, vous ne voyez pas que Vincentp se fiche du monde ? Je sais bien qu'il n'est pas très littéraire, pas très grand lecteur. Mais il n'y a pas un Français d'un âge supérieur à 40 ans qui ne connaisse le roman de Victor Hugo ; ce n'est pas possible. Et un amateur de cinéma qui fasse mine d'ignorer les versions de Raymond Bernard, de Jean-Paul Le Chanois, même de Robert Hossein ; surtout en regardant des films hongrois ou hindous !!!


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De spontex, le 9 février 2022 à 20:04

Détrompez-vous Impétueux, cela fait belle lurette que le roman de Victor Hugo n'est plus au programme au collège ou au lycée. J'ai également pu passer au travers, je me souviens seulement en avoir étudié un extrait avec Cosette et les Thénardier. J'ai vu le récent Les Misérables, mais je crois qu'on est assez loin de l’œuvre originale.


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De Impétueux, le 9 février 2022 à 20:48

Les Misérables de Ladj Ly n'ont aucun autre rapport avec l'oeuvre de Victor Hugo que de se dérouler à Montfermeil, où l'auberge des Thénardier est installée.

Pour le reste, que vous dire ? Il faut donc qu'un chef-d'oeuvre (un peu long, un peu fatigant) de la littérature française soit étudié au collège ou au lycée pour qu'on le connaisse ? Les élèves ne peuvent pas le lire sans prescription ? Et ce doit être pareil pour Notre-dame de Paris, pour Cinq-Mars, pour Eugénie Grandet, pour Le rouge et le Noir, pour Madame Bovary ?

Ce que vous me dites me fait froid dans le dos.


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De spontex, le 9 février 2022 à 21:00

Dans votre liste, j'ai lu Madame Bovary. Et pratiquement tout ce qu'a écrit Jules Verne.


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De Impétueux, le 9 février 2022 à 21:08

Donc rien de Balzac, rien d'Anatole France, rien d'André Gide, rien de Montherlant, rien de Giono non plus ?


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De fretyl, le 9 février 2022 à 22:54

Je suis actuellement en train de dévorer l'œuvre de Zola de L'assommoir à La Terre en passant par Nana… Sans suivre l'œuvre de Zola dans sa chronologie. Sauf Germinal que j'ai lu et relu depuis mon adolescence… Je me suis rendu par ailleurs, après avoir fini L'assommoir, sur le fil de Gervaise et je crois y avoir lu un message de Vincentp disant détester Zola.

Comment détester un auteur que vous n'avez probablement jamais lu ? (Mis à part Germinal qui ne fait pas tout…)


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De spontex, le 9 février 2022 à 23:40

J'ai effectivement lu le Père Goriot et la Peau de chagrin au collège.


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De Impétueux, le 10 février 2022 à 10:35

On ne va pas faire un concours ni passer un examen… On lisait beaucoup plus de mon temps, bien sûr parce qu'il n'y avait ni télévision, ni ordinateurs et tout le toutim.

Ce qui me navre, c'est que la plupart des gens arrêtent de lire de la littérature classique (y compris récente, veux-je dire, d'auteurs du 20ème siècle) après le lycée. Pourquoi ne pourrait-on pas découvrir Lucien Leuwen à 40 ans ou Belle du seigneur à 50 ?

Ami Frétyl, vous avez raison de lire Zola, mais tort de ne pas vous amuser à prendre les Rougon-Macquart du premier ("La fortune des Rougon") au vingtième ("Le docteur Pascal"). C'est très curieux de comprendre le projet de Zola ainsi.

Bon, nous allons revenir au cinéma !


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