Très bon film, très bons acteurs, très bonne musique. Tout cela d'après un excellent livre. Pourquoi faut-il attendre que ce DVD soit réédité ?
Parmi les nombreuses conneries dans lesquelles Fernandel a pue tourner, on rangera sans aucun problèmes ce film de Gilles Grangier.
On comprend mal quelles sont les intentions de ce film… Le personnage semble plutôt avoir été écrit pour Gabin, le scenario ressemble par ailleurs à celui du Soleil des voyous.
Fernandel
n'est pas crédible un instant en caïd de la pègre, pas plus que ne le sont ses acolytes censés être des durs ; Christian Barbier,
Jean-Pierre Marielle
et Mario David.
L'homme à la buick aurait pu être réalisé par n'importe qui. Quand à la chanson, elle est, mais alors, elle est….. IMMONDE !
Courage fuyons !!!!!!
Fernandel a une belle bagnole…Ce sera tout.
Mais vous avez du nez, ami Frétyl, parce que Grangier raconte dans son livre souvenirs Passer la Loire c'est l'aventure que Gabin
était préssenti pour le rôle. Mais il se désista pour tourner Le jardinier d'argenteuil
qui un excellent film comme vous savez…..(!) Il nous raconte aussi que danielle Darrieux
faisait les allers-retours tous les jours Honfleur-Paris oû elle jouait au théâtre le soir. Je ne connais pas l'entière filmographie de la Dame mais il est à souhaiter que ce choix de navet ne s'est pas reproduit.
Mais vous avez du nez, ami Frétyl, parce que Grangier raconte dans son livre souvenirs Passer la Loire c'est l'aventure que Gabin était préssenti pour le rôle.
Il arrive parfois que lorsqu'il y'a un changement de casting pour un film au dernier moment on puisse ressentir, dans la façon qu'auront les acteurs à jouer leurs rôles une certaine imitation de celui pour qui le scenario a été écrit.
Voyez Train d'enfer (nanar) le scenario avait été écrit pour Ventura.
Celui-ci refusa. Alors Roger Hanin
fait tout comme Ventura
: les gestes, la façon de regarder, la voix, la façon de marcher, les regards, jusque même dans les costumes… Et il est ridicule !
Cela dit, et donc désormais mieux compris, il ne me semble pas que L'homme à la Buick mérite l'opprobre dans quoi il est honteusement plongé. C'est du classique cinéma à la Gilles Grangier
pour spectateurs peu regardants sur les détails mais assurés de trouver, le samedi soir venu, dans la salle de quartier, après les esquimaux Gervais et le sac de bonbons Kréma, un spectacle simple, des acteurs connus, des paysages rassurants et un récit compréhensible.
Ah, aussi, note narquoise… Le film est sorti sur les écrans parisiens le 12 janvier 1968. Quand je pense qu'il y en a qui disent qu'ils avaient prévu ce qui se passerait rue Gay-Lussac quatre mois plus tard…
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