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Forum : Mort de Micheline Presle (1922 - 2024)

Sujet : Micheline Presle


De vincentp, le 21 février à 23:06

Les années 1950 sont fastes pour cette actrice, des rôles majeurs dans des films majeurs. C'est plutôt au début des années 1960 que sa carrière patine. Elle ne répond plus aux canons d'alors, et enchaine des rôles secondaires.


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De Impétueux, le 22 février à 13:05

Qu'est-ce que vous voyez comme bons ou grands rôles dans les années 50 ? Rien du tout…

Et le physique n'est pas une affaire, dans ce domaine. La carrière de Danielle Darrieux est d'une tout autre dimension alors même qu'elle est de cinq ans plus âgée. Les années 50 sont – pour Darrieux une suite éblouissante de La Ronde à Marie-Octobre en passant par L'affaire Cicéron ou Madame de… Ensuite de grands seconds rôles, dans Les demoiselles de Rochefort (1967) ou Le cavaleur (1979) ou même 8 femmes en 2002. Et même un premier rôle dans En haut des marches (1983) de Paul VecchialiMicheline Presle d'ailleurs figurait.

Ce que je voulais dire, c'est que la récente morte, précisément, avait raté une marche avec son absurde exil aux États-unis qui, a quelques exceptions près (Maurice Chevalier, Louis Jourdan, Charles Boyer) n'ont jamais réussi aux notes.

Comment peut-on quitter Paris pour Hollywood ? C'est idiot.


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De Viator, le 23 février à 11:01

Pour moi, un des rôles marquants de Micheline Presle, reste celui de Jacqueline Presle, dans « Jeunes filles en détresse », ce rôle (son premier) qui justement lui donnera son nom d’emprunt.

Enfant de futurs divorcés, j’ai vu des films traiter assez justement du thème douloureux du divorce : « Kramer contre Kramer » de Roberton Benton (1979), « L’Usure du temps » d’Alan Parker (1982). « Jeunes filles en détresse » est le seul film français d’avant guerre, à ma connaissance, à aborder le thème du divorce d’une façon aussi satirique.

Synopsis. 1939. Les pensionnaires du prestigieux institut, dont les jeunes et belles Micheline Presle et Jacqueline Delubac, sont presque toutes des enfants délaissées de riches parents divorcés. Elles fondent une "ligue contre le divorce" , la « Licodipa » (ligue contre le divorce des parents), après que l'une d'elles ait tenté de se suicider.

Le chant de la ligue en question, composé pour la circonstance par les jeunes filles:

« Le bonheur sur terre, A quoi bon le taire, c’est de toujours marcher la main dans la main

L’union fait la force, A bas le divorce, pour qu’on soit tous heureux demain »

Des jeunes filles bien idéalistes, certes, mais tout de même bien inspirées. Les idéaux ne manquaient sans doute pas avant-guerre.

L’année précédente, en 1938, sortait le film « Altitude 3200 » de Jean Benoit-Lévy.

Synopsis. Des jeunes gens sous l'égide d'un professeur vont vivre à la montagne dans une cabane abandonnée qui devient une république.

Toute une époque …


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