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Forum : New York 1997

Sujet : Avis


De Crego, le 5 mars 2003 à 16:40

Oui ça a pas mal vieilli, ce qui ressort le plus, c'est le manque flagrant de moyens. Mais il y a un côté BD vraiment cool et revoir de vieilles carnes comme Van Cleef, Borgnine, Harry Dean Stanton ou Donald Pleasence face à Kurt Russell en train de singer Eastwood, ça n'a pas de prix. A revoir donc, mais avec indulgence.


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De diumson, le 28 mai 2003 à 20:25

Quelqu'un sait si la fameuse scéne du début (le casse) présent dans le zone 1 sera incorporé au zone 2??

Sinon rien a dire, Carpenter et Kurt Russel font vraiment mouche comme dans The Thing.


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De Wing, le 17 juin 2003 à 22:06

… faut vraiment être nostalgique, revu y a pas longtemps, je me suis à moitié endormi

alors que la suite, Los Angeles 2013, est peut être moins noble, mais reste toujours aussi fun et se conservera beaucoup mieux.


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De marty, le 19 décembre 2003 à 19:19
Note du film : 5/6

Il est clair que tous les petits d'jeuns d'aujourd'hui, nourris aux images de synthèse et au politiquement correct, auront du mal à regarder New-York 1997. Ce film est pourtant un sommet de la série b (qui n'est pas synonyme de mauvais film! mais signifie petits budget, pas long à tourner).

Mise en scène & musique de Carpenter + Scénario efficace (+ critique sociale) = série b culte.


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De jipi, le 12 juin 2008 à 15:52
Note du film : 5/6

"J'aimerais bien voir le départ de certains crétins, que je ne nommerai pas mais il se reconnaîtrons, et le retour d'autre contributeurs précieux qui ont quitté le forum (Jipi, Urspoller, Gaulhenrix… Et plein d'autres) mais dans le fond, comme je les comprend !

Bonjour lassé Pour vous remercier de m'avoir cité voici un petit texte rien que pour vous.

Malgré un crash amputé au maximum et des ponts à mobilités réduites « New-York 1997 reste palpitant de bout en bout.

La grosse pomme naguère prospère devenue un camp retranché est représentative de l'échec cuisant d'un site spéculatif éradiqué parallèlement par sa propre antithèse, la prolifération d'exclus.

Une fois de plus la perception d'un futur extrêmement pessimiste est appréhendée un peu trop tôt. Ceci ne prive pas pour autant le processus d'une activation plus lointaine mais inévitable.

Tout est effrayant, galbé pour un surhomme fuyant en permanence une meute affamée. Cette course contre la montre dans ce parc thématique monstrueux formate un instinct de survie progressant mètre par mètre avec comme unique alliée l'activation de ses propres règles.

La quête d'un président narcissique détenu par un rival cloisonné offre la possibilité à un exclu de démontrer qu'il possède encore une moralité. Le but inconscient ou non étant de se reconstruire dans une mission suicide contraignant un dédaigneux à aller de l'avant.

Snake Plissken distant d'un monde auquel il ne participe plus, parachuté malgré lui dans un enfer régi par la force et l'inconditionnel prouve avec un corps et un esprit au top que l'on peut atténuer une insensibilité en se parant d'une authenticité reformatée.

Un premier pas perceptible vers une réinsertion plus en phase avec ses possibilités physiques. L'éventualité de se pourvoir d'une fonction indispensable à un équilibre, être utile tout en restant maître d'une décision finale et de ses conséquences.

En 1988 « Escape From New-York » obtint curieusement un gros succès en Pologne pays à l'époque non touché par ces constats alarmants comme quoi les peurs les plus intuitives ont parfois des terres promises surprenantes.


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De Police, le 13 juin 2008 à 00:56

JIPI , votre place est sur ce site. Indéniablement.


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De jipi, le 13 juin 2008 à 16:13
Note du film : 5/6

Merci Police.


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De gilou40, le 13 juin 2008 à 23:01

Un très bon film, réalisé de façon très professionnelle, peut-être un peu trop. Une vision récente au cinéma de la version intégrale m'amène à penser que le film manque quelque peu de spontanéité et possède un côté un petit peu artificiel. J'en discutais récemment avec d'autres personnes qui partageaient mon point de vue. Du grand spectacle tout de même.Ajoutons que si ce film a eu tant de succès, c'est parce que les Américains y retrouvaient une part de leur histoire douloureusement surmontée, celle de la guerre civile. Les européens quant à eux se sentirent proches de ce long métrage car le film auraut pu sortir après la seconde guerre mondiale et ses privations, et les tribulations de l'héroïne à travers son pays en ruine, et sa lutte pour s'en sortir et reconstruire, trouvaient bien des échos dans la population.


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