Un verrou qui cède, une porte qui s'ouvre, des cris de joie qui retentissent : un logement condamné est redevenu libre. Simple comme bonjour, la réappropriation qui ouvre le film de Christophe Coello est d'abord un moment d'intense vitalité.
Page générée en 0.0057 s. - 15 requêtes effectuées
Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter