Je trouve dans ces deux films "Jean de florette" et "Manon des sources" ,des analogies avec "Simplet" sorti en 1942 avec Fernandel. Un papet et un simplet amoureux…
Il se peut que ma sévérité avec les films de Berri soit un peu due à leur comparaison avec ceux de Pagnol où, par ailleurs, les lignes de force des personnages ne sont pas tout à fait identiques, le personnage du Papet étant bien plus développé en 1986 qu'en 1952 : il fallait bien donner à Montand un rôle à la mesure de son statut de vedette.
Pour Auteuil, il n'est que de comparer son désespoir devant Manon à celui de Rellys, qui joue Ugolin ; la sincérité et l'émotion sont du côté du noir et blanc…
Quant au bipôle La gloire de mon père/Le château de ma mère, je les tiens pour ma part comme un petit miracle de tendresse et d'émotion, où la vraie poussière des collines de La Treille est présente…
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où, par ailleurs, les lignes de force des personnages ne sont pas tout à fait identiques, le personnage du Papet étant bien plus développé en 1986 qu'en 1952 : il fallait bien donner à 
un rôle à la mesure de son statut de vedette.
il n'est que de comparer son désespoir devant Manon à celui de 
qui joue Ugolin ; la sincérité et l'émotion sont du côté du noir et blanc…
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je les tiens pour ma part comme un petit miracle de tendresse et d'émotion, où la vraie poussière des collines de La Treille est présente…