Fin 1918, dans les Pyrénées. C'est la fête chez les Lapeyre car on tue le cochon. La famille et les amis sont là pour deux jours. Seul Pierre, le fils, reste cloîtré dans sa chambre. Derrière les volets mi-clos, il observe les événements. Malgré les prières de sa mère, il refuse de sortir. En effet, défiguré par une blessure de guerre, il n'ose pas affronter le regard des autres. Depuis son retour du front, personne ne l'a vu dans le village, à part ses parents. Le jour du banquet qui clôture la fête du cochon, Pierre voit arriver Jeanne, son amour d'avant guerre. En plein repas alors que personne ne s'y attendait, il paraît sanglé dans son uniforme.
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