1925. A Paris. Marie Bonaparte, épouse du prince Georges de Grèce, est loin d'être une femme heureuse. Depuis quelque temps, elle entend parler de Sigmund Freud, un Autrichien père d'une nouvelle technique thérapeutique qui ferait, dit-on, des miracles auprès des gens psychologiquement fragilisés. Sur les conseils d'un ami médecin, Marie s'en va quérir les conseils du célèbre Viennois. Celui-ci lui prescrit une cure par la parole et l'accepte comme patiente. En quelques mois de divan, Marie parvient à libérer ses démons intérieurs et à lutter contre ses angoisses et ses pulsions. Forte de la complicité qui, depuis plusieurs semaines, a cédé la place à la traditionnelle relation thérapeute-analysé, Marie propose à Freud de traduire ses ouvrages en français…
Page générée en 0.0067 s. - 15 requêtes effectuées
Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter