A le revoir, le film de James Clavell, La Vallée perdue, convainc toujours par des atouts inattendus : le film a des allures de superproduction, mais il multiplie les scènes intimistes et propose une mise en scène dépouillée. Par ailleurs, loin de présenter un propos schématique dans sa condamnation de l'absurdité de la guerre ou du fanatisme religieux, il offre un point de vue nuancé sur la justification de la violence et l'impossibilité de la neutralité.
La distribution est exemplaire et les acteurs, bien dirigés, parfaits : Michael Caine par son charisme, Omar Sharif par son humanité. Quant à Florinda Bolkan, elle est tout simplement belle à damner… un prêtre !
Ah ah ah !!! Il est vrai que je vous connais de visu et ne pouvais vous confondre avec ce clampin, comme vous dîtes, qui possède visiblement Le troisième oeil, sans doute pour décrypter nos savantes chroniques. Quant à la femme, elle "connait des fins de mois difficiles". Cela promet.
Page générée en 0.0023 s. - 6 requêtes effectuées
Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter