On se disait bien, Vincentp que si vous ne nous abreuviez plus de notes dithyrambiques qui donnent au moindre western ou shambara une qualification de chef-d'oeuvre, chose pourtant bien rare, c'est que vos enthousiasmes avaient été douchés par quelque chose !
La mauvaise nouvelle, c'est que vous êtes encore fragile ; la bonne c'est que vous allez vers la guérison ! À bientôt donc, de vous lire !
Oui, le film se laisse suivre grâce à l'intrigue et au jeu des acteurs; j'ai oublié Lloyd Nolan, excellent en flic pourri.
Concernant la caméra subjective, c'est un procédé à utiliser avec parcimonie, ce qui est paradoxal car il ne fait qu'emprunter le regard qu'a un personnage d'une situation et doit permettre de s'identifier à lui. Dans la théorie, c'est un dispositif assez naturel; dans la pratique, le résultat apparaît sur une longue durée rigide et artificiel.
Notons d'une part qu'un tel procédé devait être une performance technique en 1947, vu la lourdeur des caméras adoptées en cette époque lointaine. D'autre part, j'ai un bon souvenir d'un film de 1997 qui adoptait le même dispositif: La femme défendue mais il faudrait que je le revoie…
Bon courage à toi Vincentp et à bientôt !
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