En février 1998, le préfet de la Région Corse, Claude Érignac, est abattu en pleine rue d'Ajaccio. C'est un séisme. Jamais, depuis la Seconde Guerre mondiale, on n'avait frappé un si haut représentant de l'État. Un an d'enquête plus tard, et d'égarements, s'ensuivent les arrestations du commando présumé. 96 heures de garde à vue au sein de l'antiterrorisme. Aveux, puis rétractations. À crime d'exception, justice d'exception.
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