Thomas, 47 ans, court d’hôpitaux en cimetières pour réconforter les uns et ensevelir les autres. La mort a encore et toujours de l’imagination et du tonus : sida, overdose, suicide. Elle s’abat sur cette génération. Mais Thomas pense que la vie a beau être une garce impitoyable, elle reste la source de plaisirs magnifiques et délicieux. Thomas ment, trompe, se ment, se trompe, joyeusement, avec la complicité de tout son entourage. La nostalgie n’est pas son genre, les commémorations sont une farce ridicule, mais il reste l’amitié et un mot d’ordre radical et absurde : “À mort la mort !”
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