Tout ce qui fait la saveur du cinéma de Aldrich est là. Autour d'un Burt Reynolds,
qui est à l'époque un acteur des plus charismatiques et fait ici penser à Lee Marvin
dans Les douze salopards,
on retrouve des trognes formidables.
L'humour est omniprésent.
Une fois de plus le cinéaste manifeste l'envie de démonter l'envers des choses, ici la combine de Hazen (Eddie Albert).C'est dans ce mélange d'énergie sans limite et de lucidité accrue que Aldrich est grand. Très grand.
Alors ne l'oublions pas et j'invite tout le monde à se procurer le dvd!
Une façon aussi de constater que le grand cinéma américain des années 70, c'est Coppola, Scorsese,
De Palma,
Schatzberg
mais aussi des "vieux" comme Huston,
Fleischer,
Siegel,
Peckinpah,
et donc Aldrich.
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