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Filmographie

Voici les films auxquels René Le Somptier a participé. Vous pouvez compléter ou corriger cette filmographie.

Ordre : (Par date) (Par titre)
Rôle de René Le Somptier : (Tous) (Réalisateur) (Scénariste) (Acteur)

1937
Le Dernier conte de Schéhérazade (Cinéma) – Réal. René Le Somptier


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1928
La Marche vers le soleil (Cinéma) – Réal. René Le Somptier – Marquisette Bosky, René Le Somptier

"Une suite d'images heureuses nous montre l'oeuvre des Français en Afrique Equatoriale. C'est un excellent film de propagande qu'une intrigue légère rend plus assimilable" (Filma)

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1928
La Légende du moulin joli (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier


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1926
La Forêt qui tue (Cinéma) – Réal. René Le Somptier – Simone Alma, Robert Bogaert, Suzanne Christy

En 1625, le comte de Rohan s'insurge contre les Espagnols et tombe sous leurs coups. La légende veut que lorsque son spectre apparait, une pluie de sang s'abat sur le pays. Rohan a été trahi par Guill […]

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1926
Le P'tit Parigot (Cinéma) – Réal. René Le Somptier – Fernand Billard, Georges Biscot, Marquisette Bosky

Le "P'tit Parigot", fils d'académicien et capitaine de l'équipe de France de Football, se brouille avec son père, et devient mécanicien, chez Mr Mesnil, dont la fille Lucie, lui plait beauco […]

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1925
Les Terres d'or (Cinéma) – Réal. René Le Somptier – Joë Hammann


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1924
Les Fils du soleil (Cinéma) – Réal. René Le Somptier – Marquisette Bosky, Georges Charlia, Marcel Vibert

Hubert de Beauvoisin, élevé à Saint-Cyr est fiancé à Aurore de Saint-Bertrand, ce qui excite la jalousie d'un financier cosmopolite le baron de Horn. Celui-ci compromet Hubert qui doit s'exiler, avec […]

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1923
La Porteuse de pain (Cinéma) – Réal. René Le Somptier – Suzanne Desprès, Gabriel Signoret, Geneviève Felix

Jeanne, accusée d'un meurtre commis par le contremaitre Garaud, est pour 20 ans en prison. Elle s'évade, et devient la porteuse de pain. Sa fille, Lucie, est aimée par le fils de la victime. Lucien qu […]

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1923
La Dame de Monsoreau (Cinéma) – Réal. René Le Somptier – Geneviève Felix, Gina Manès, Madeleine Erickson

Conspiration par les Guise et le frère du roi, contre Henri III. Les Guise ont le dessein de faire ensuite assassiner le frère du roi par la suite. Mais la conspiration échoue grâce au valeureux Chico […]

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1922
La Bête traquée (Cinéma) – Réal. René Le Somptier, Michel Carré – France Dhélia, Jeanne Marie-Laurent, Edmond Van Daële

Marielle, fille du garde-chasse, voudrait faire rentrer dans le droit chemin le braconnier Grattret, qu'elle aime. Sa famille voudrait qu'elle épouse l'honnête piqueur Aubertet. Surpris par le Garde, […]

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1920
La Montée vers l'Acropole (Cinéma) – Réal. René Le Somptier – André Nox, France Dhélia, Edmond Van Daële

Un ancien Président du Conseil, Labrousse, a pour ennemi le jeune polémiste Lesieur. Ce dernier aime France, la fille d'un riche industriel. Labrousse la rencontre sur l'Acropole, et en tombe amoureux […]

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1919
La Croisade (Cinéma) – Réal. René Le Somptier – Edmond Van Daële, France Dhélia, Claude Mérelle

Un héros de la grande guerre, Rene Bernieres, revient chez lui dans les régions dévastées, trouve sa famille dispersée, son frère tué, son usine détruite. Il évoque les morts et son devoir lui apparai […]

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1919
La Sultane de l'amour (Cinéma) – Réal. René Le Somptier, Charles Burguet – France Dhélia, Sylvio de Pedrelli, Yvonne Sergyl

Le conte des amours tourmentées de la princesse Daoulah, et du prince Mourad qui s'était rencontré : elle déguisée en fille du peuple, lui en pauvre pêcheur, et qui n'arrivaient pas à se trouver. […]

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1916
Grand'Maman (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier


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1916
Aubade à Sylvie (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Madeleine Ramey, Georges Melchior, Georgette Faraboni


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1915
Le Pont des enfers (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Marie-Louise Iribe, Georges Melchior, Edmund Breon


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1915
Les Epaves (de l'amour) (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Gaby Morlay, Charles Keppens, Gaston Rieffler


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1914
Le Bon tuyau (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – René Kessler, Alice Tissot


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1914
Le Raid aérien (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Fernand Billard, Yvonne Dario, Mademoiselle Davrières


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1914
Josette (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier


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1914
Au fond du cœur (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Max Dhartigny, Armand Dutertre, Edmund Breon


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1914
Au temps des cerises (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – René Kessler, Marie-Louise Iribe, Maurice Vinot


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1914
Célibataire (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Yvonne Dario, Maurice Vinot


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1914
La Fille du caissier (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Sylvette Fillacier, Georges Melchior, Paul Manson


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1914
La Gloire posthume (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Henri Duval, Jeanne Marie-Laurent


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1914
Le Monde renversé (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier


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1914
Chef d'école (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Georges Melchior, Armand Dutertre, Yvonne Dario

Dans une mansarde, un artiste peint. Arrive sa fiancée avec laquelle il se dispute : elle jette sur la toile posée sur un chevaletr un plat… L'oeuvre se transforme alors en un tableau cubiste rév […]

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1914
Ginette (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – France Dhélia, Gaston Modot, Juliette Malherbe


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1914
Le Pressentiment (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Alice Tissot, Georges Melchior


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1914
Les Masques (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Fernand Billard, Sylvette Fillacier, Henri Duval


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1913
Les Mains qui meurent (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Jeanne Marie-Laurent


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1913
La Lettre (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Laurent Morléas, Suzanne Privat, Alice Tissot


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1913
La Poudre X… (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Camille Bert, Max Dhartigny, Suzanne Privat


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1913
Le Prix de Rome (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Maurice Vinot, Marie-Louise Iribe, Henri Duval


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1913
Fleur fanée… Cœur aimé… (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Maurice Vinot, Georges Melchior, Marie-Louise Iribe


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1913
L'Intègre (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Renée Carl, Henri Duval, Louis Leubas


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1913
Un Drame de l'air (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Armand Dutertre, Georges Melchior, Jeanne Marie-Laurent


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1912
Grand-maman (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier – Berthe Jalabert, Jeanne Brindeau, Juliette Malherbe


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1912
Le Temps des cerises (Court-Métrage) – Réal. René Le Somptier


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1908
Poum à la chasse (Cinéma) – Réal. René Le Somptier – André Le Somptier, Alice Tissot


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Biographie

René Le Somptier

René Le Somptier (1884-1950) naît dans une famille d'antiquaires, avec un père Conseiller municipal à Caen, où il fait des études de droit qui ne le disposent pas au cinéma. Suivant la direction de son père, il s'intéresse à la politique et publie quelques articles dès 1906 dans L'Action française et L'Œuvre. C'est un ancien camarade de lycée, fondateur de la société Cosmograph qui lui propose de faire ses premières armes dans le 7e art : Poum à la chasse est son premier film, dans lequel il met en scène son père. L'année suivante, il s'inscrit dans une association de républicains normands de gauche, la « Ligue des bleus de Normandie » dont il deviendra président en 1946. Le personnage est idéaliste, pamphlétaire, empreint de passions socialisantes. Son cinéma, pourtant, ne traduit pas spécialement ces intentions. Chez les cinéastes et théoriciens de l'avant-garde des années vingt, il passe pour un cinéaste académique, un « bon artisan ». Cependant, à travers certains scénarios, on retrouve parfois une fidélité à ses idéaux. À l'instar de quelques confrères, il est mobilisé à la guerre de 1914, blessé gravement et réformé : il se consacre alors en totalité au cinéma et tourne de nombreuses courtes bandes avant de devenir en 1918 l'un des proches de Louis Nalpas qui lui confie la réalisation de son film le plus célèbre : La sultane de l'amour, « conte inédit des mille et une nuits », est sans aucun doute l'œuvre la plus ambitieuse de la firme Louis Nalpas. Tourné dans les magnifiques domaines de la villa Lisserb à Nice en juin 1918, avec des moyens très importants, le film n'obtint qu'un succès public modéré. Le film fut présenté en deux parties en 1919 et une réédition eu lieu en 1923, coloriée au pochoir, dans une version plus courte. Mais René le Somptier découvre aussi le théâtre : en 1920, il écrit et met en scène des pièces en théâtre de verdure. Après la Croisade (1919), évocation cruelle de la Grande Guerre, ce sont la Montée vers l'Acropole (1921), un drame de la justice, la Bête traquée (1921), tragédie qui se déroule dans les décors boisés d'Île de France, est solide, concis et subtile. Quant à la porteuse de pain (1922), c'est ici une adaptation conventionnelle tout comme la Dame de Monsoreau (1923) qui narre les aventures amoureuses de Diane de Méridor et du comte de Bussy à l'époque d'Henri III, roi de France et de Navarre. En 1924, Le Somptier est nommé pendant deux ans chargé de missions cinématographiques au Maroc, puis au Gabon, en Oubanghi et au Tchad. Trois films sont issus de cette période : les Terres d'or, la Marche vers le soleil et les Fils du soleil. Ce dernier film, qui emprunte la voie du cinéma de propagande coloniale soutenue par l'État français et le maréchal Lyautey, est toutefois interdit plus d'un an : le film, interprété par Joë Hamman, Georges Charlia et tourné dans l'Atlas, à Rabat, Meknès et Fès ne correspond pas à l'image que l'on attendait. Mais ce western colonial est un triomphe public grâce au ton romanesque de l'histoire, aux coutumes présentées, au prestige de la figuration et aux décors remarquablement bien utilisés. La Forêt qui tue, film belge de 1925, l'un des rares films français traitant de la période du Moyen-âge, est vite oublié au profit du P'tit parigot . Constitué d'une série de sketches inspirés des serials américains, avec l'apport d'Henri Decoin au scénario, le film est un mélange de genres détonnant, une peinture de la modernité des années vingt. Avec aisance, René Le Somptier passe d'un thème à l'autre, et obtient de jolis succès publics. Ce sera son dernier film de fiction muet. Il tournera en 1928 La Légende du moulin joli, historiette sans distinction, puis opte définitivement pour la politique en 1929. Très proche d'Aristide Briand, il entre dans les années trente au cabinet du ministre de la guerre, avant de s'occuper d'éducation physique. Il est ensuite chargé d'une mission cinématographique par le truchement de l'Agence de l'Afrique Équatoriale française. Mais il écrit toujours des scénarios, tous restés inédits. En 1937, il réalise son dernier film à la demande du Ministère de la marine, Le Dernier conte de Shéhérazade. Il s'agit d'un court métrage sur l'exposition internationale de 1937. En 1939, René Le Somptier est appelé pour diriger une légion de travailleurs indochinois, puis passe de poudrière en poudrière jusqu'à la fin de la guerre. Pendant cette période, il crée un journal, forme une troupe théâtrale de tonkinois, écrit des chansons pour remonter le moral des troupes. Il revient au journalisme de ses débuts pour collaborer à Sud-Ouest et à L'Aurore. Il y écrit sur le théâtre, le cinéma, les arts. Il meurt en 1950 à 66 ans. Référence électronique

Référence électronique « L », 1895, n°33, Dictionnaire du cinéma français des années vingt, 2001, En ligne, mis en ligne le 26 juin 2006. URL : http://1895.revues.org/document96.html. Consulté le 01 novembre 2008.

La Filmographie suivante est normalement complète (sources imdb, les gens du cinéma, catalogue des films français)

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imdb.com La fiche IMDb de René Le Somptier

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