1780, le jour du carnaval, Marie-Antoinette accompagnée d'une chambrière, se rend discrètement au Bal de l'Opéra. Toutes deux masquées, bien enveloppées dans leurs dominos, jouissent de leur équipée, lorsqu'un masque, prenant la reine par la taille, cherche un baiser. Marie-Antoinette riposte par un soufflet. Le galant, très vexé, appelle des gardes qui s'exécutent, et leur ordonne de conduire les deux femmes au poste. Le jeune officier commandant le poste, lorsqu'elle lui dévoile son identité la laisse partir et lui remet une lettre dans laquelle il lui déclare son amour. Elle détruit la lettre. La scène suivante montre la Reine en 1793 dans la prison du Temple. Son exécution est décidée. Dans sa cellule, elle trouve une lettre qui lui dit que le lendemain sur la route de la guillotine on tentera de la sauver. Mais le lendemain, son sauveur en qui elle reconnaît le jeune officier de 1780, est arrêté et étranglé à ses pieds. Elle monte à l'échafaud.
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