Une fin qui fait penser à Spaggiari s'évadent du Palais de justice de Nice en sautant par la fenêtre pour rejoindre un complice à moto, ici Gaulard sur la moto d’une complice à Paris .
Je n'aime ni Pierre Richard ni Victor Lanoux. L'un parce-que son rôle de clown m'a toujours laissé de marbre et ne contient pas la moindre finesse ni aucune stabilisation possible et l'autre parce-qu'il est un acteur tout à fait remplaçable ! Il ne pouvait d'ailleurs ne finir sa carrière que sur un truc pour les personnes âgées, Louis la brocante en l’occurrence !
Et le comble je n'aime pas non plus Gérard Oury réalisateur sans grande prétention qui à mon simple avis n'a tourné que deux films amusant Le corniaud et Le cerveau qui fonctionne encore un peu, même La grande vadrouille m’exaspère.
Alors comment pourrais-je aimer La carapate ? Pierre Richard en fait des tonnes et ne manque à aucun moment l'occasion d'être tout simplement "insupportable". Dire qu'en lisant la biographie de Dewaere celui-ci qui attendait le scenario depuis pas mal de temps est allé envoyer chier l’équipe toute entière après la lecture de quelques pages poussant une colère terrible à la Gaumont que l'on ai pensé à lui pour jouer dans ça !
Pas un gag ne m'a fait sourire, mais je vais quand même mettre un point pour la participation de Jean-Pierre Darras qui à l'inverse de tous les autres se montre plutôt pas mal.
Pourtant avec le grand bordel qu'a été Mai 68 il y'avait de quoi faire…
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