Dans le château de George Daniel de Monfreid, au début du XXe siècle, le fils Henry, gravement malade, qui s'est vu au seuil de la mort, décide de rompre avec son existence petite-bourgeoise et rangée. Il confie ses deux enfants à une jeune Allemande proche de la famille et part le plus loin possible : à Djibouti. Il s'y livre au commerce de peaux, d'armes, de café, ce qui, dans ces contrées frontalières, se confond souvent avec trafic et contrebande. Il entame alors une correspondance régulière et aussi détaillée qu'un journal de bord, avec son père et son amie allemande, Armgart. Ce sont les "lettres de la mer Rouge"
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