C'est une lettre d'amour. Celle qu'Anara Kobessov adresse à son mari, le cinéaste Amir Kobessov. C'est aussi un cauchemar qui agite le sommeil d'Amir : lors de la première de son film dans une salle comble, le projectionniste inverse bêtement les bobines. Les images projetées sont celles d'un film de karaté américain. Le public exulte et refuse d'interrompre la projection : impossible de rétablir les bonnes images.
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