De quoi s'agit-il ? D'une édition "séparée" où on pourra acheter chaque film à l'unité ? Ou (ne rêvons pas trop !) de l'édition de la saga remontée pour la TV ?
On pourra, en tout cas, acheter le premier film "tout seul".
Paramount annonce un nouveau master haute définition. On ne sait pas si les autres films en bénéficieront !
Ce n'est pas, a priori, le montage TV.
Je viens d'entreprendre une révision de ce très grand film qui doit ressortir remasterisé et si certains veulent aller voir sur le site qui lui consacre une très large part (jusqu'à un certain point) ils tapent comme moteur de recherche "The Godfather".
Pour ma part, je dirai que je ne sais combien d'années plus tard après sa première vision au cinéma, je demeure toujours autant scotché par ce film. Quand je l'avais découvert à cette époque, j'avais lu, préalablement à sa publication, le roman de Puzo (peut-être avec 2 "z" comme dans cacahuète !) et j'avouerai que ce personnage du parrain, magistralement interprété par Brando, m'intéressait beaucoup. Et c'est vrai que dès les premières images, on entre dans une ambiance rare où chacun vient raconter ses gros malheurs (et peut-être aussi les petits) à son parrain. Et ces valeurs que "il padrino" défend apparaissent être de véritables vertus face à une Amérique où les politiciens, les magistrats et les policiers sont corrompus quand, de fait, dans le monde auquel il appartient, la vie d'un homme ne vaut pas grand chose.
Ce qui est scotchant c'est aussi la fin de cette longue première partie où, alors que la poudre parle ou que l'un utilise le lacet pour assassiner un homme, a lieu un baptême où le nouveau parrain avoue pour son filleul renoncer à Satan et à ses actes… Séquence dingue après d'autres séquences toutes aussi dingues qui va nous amener à ce qu'une femme voit une porte se refermer sur son mari tandis que d'autres viennent lui exprimer leur dévotion…
Trois heures fascinantes d'un film qui nous conduit dans un monde où l'on tue et où la famille représente toujours une valeur immarcescible… (Et paf !)
A suivre !
Immarscessible, la trilogie du Parrain ?
Si vous le dites ! Jamais vue, en tout cas… Mais comme je n'apprécie pas du tout Brando, ça ne me prive pas…
Jamais vue, en tout cas…
De quoi ??? Le jour ou vous le verrez vous vous demanderez pourquoi vous avez attendu tant d'années pour découvrir un tel chef d'œuvre.
Les histoires de gangsters américains ne me passionnent guère…. Et puis se payer Brando, c'est pire que Frétyl et Alakazamtsointsoin réunis, non…?
Brando est peut-être l'un des plus grands acteurs du cinéma Américain du moins jusque dans les années 70. Le corrupteur,
Le bal des maudits,
Un tramway nommé Désir
sont des oeuvres marquante du cinéma Américain dans lesquelles Brando
à excellé.
Franchement, voir un Français craché sur Brando est aussi désagréable que de voir un Américain se payer Gabin.
L'acteur est un icône, le seul capable de surpasser James Dean, capable de prendre des risques fou pour un acteur sa trempe, en témoigne le magnifique Dernier tango à Paris.
Je l'aime moins dans le western The Missouri Breaks avec Jack Nicholson,
(je dois dire que les westerns trop crépusculaire ne sont pas mon fort) et il faudrait que je revois La poursuite impitoyable
qui m'avait un peu saoulé.
Mais ce n'est pas parce qu'il a fait deux ou trois mauvais films que l'on ne doit pas reconnaître que c'est un immense interprète.
Les histoires de gangsters américains ne me passionnent guère
C'est justement là que beaucoup de gens se trompent sur Le parrain !
Essayez de regarder seulement les cinq premières minutes. Impossible de ne pas accrocher au Parrain dés ses premières images. Et lorsqu'on part pour cinq minutes, on suit inévitablement le film pendant trois fascinantes heures, voir six ou sept si on a la trilogie complète.
D'abord, Brando, magistral, n'est visible que dans le premier volet… Ensuite, ce sont Al Pacino et De Niro qui portent toute une suite, difficile à suivre, certes, par le jeu des alliances et des trahisons où l'honneur est une denrée à consommer avec une certaine modération. Mais l'ensemble des personnages est intéressant… avec toutes les réserves morales que l'on est en droit d'exprimer.
On sait que l'on a affaire avec des gens difficiles pour lesquels la vie du prochain qu'ils n'aiment pas ne coûte pas cher. Par contre, ils sont d'une rare fidélité par rapport à leurs alliances et malheur à celui qui les trompera. Ce qui est intéressant entre ce premier volet et le second c'est l'opposition totale de caractère qui caractérise deux hommes : le père, Don Vito Corleone, et son fils Michael devenu un pur produit de l'American Way of Life par rapport aux activités de la famille. Autant le personnage de Don Vito suscite l'intérêt d'une masse autant la solitude totale caractérise la vie de Michael et les dernières images de cette seconde partie sont typiques d'autant que l'on sait qu'il finira sa vie seul et dans des conditions guère reluisantes.
Bien sûr, on peut ne pas aimer cette trilogie du "parrain" mais elle vaut quand même le détour et c'est un film de Coppola. Ce qui veut dire une mise en scène soignée, mais une mise en scène de qualité qui s'exprime à chaque instant de la trilogie, trilogie dont nous voyons le temps passer avec tous ses détails… de la Sicile à Ellis Island, de New York à la Californie !
Pour ma part, j'aime beaucoup !
J'oubliais, les évènements racontés dans le film n'ont pas d'ordre chronologique et c'est dans le second volet que l'on découvre l'enfance de Vito Corleone avant qu'adulte il ne devienne le Don pour devenir "The Godfather" qui sera entouré de ses "Godsuns"…
La télévision avait présenté une version chronologique du Le parrain. Elle est intéressante et voir ou revoir les évènements en ordre ou sans ordre est toujours une façon de redécouvrir cette réalisation qui fait quand même partie du patrimoine du cinéma Américain.
Pour une fois, entièrement d'accord avec Impétueux !Je déteste Marlon Brando et ses films sont d'un soporifique incroyable !Le dernier tango à Paris pâît peut-être à fretyl parce que c'est un film de cul, mais à part ça rien à en retirer !Et oser le comparer à Jean Gabin, c'est un sacrilège !
Le dernier tango à Paris un film de cul ? Ah ! Bon ! Je l'apprends ! Donc Maréchal Perrin Alakazambambou ou tsoin-tsoin, si vous aimez le cinéma, vous irez revoir ce film et vous vous pencherez (en faisant attention de ne pas tomber !) sur ses deux protagonistes et ce qu'ils expriment !
Bravo, sincèrement, à Droudrou, d'essayer de maintenir un semblant de dialogue cohérent avec cette personne. C'est désespéré (quand on repense aux délires scatologiques et aux accès de démence qui envahissent régulièrement ce site), mais méritoire.
Droudrou, cher ami, vous reconnaîtrez quand-même que certaines scènes de ce film sont particulièrement osées, non ?Tant qu'à Freddie D.,je n'ai rien à voir avec la scathologie qui envahit le forum et pour ce qui est des débilités genre délires de science-fiction, elles ne sont que pure provocation de ma part vis-à-vis de ceux qui me rejettent !
Osées ? Qu'est-ce que tu fais avec ta petite amie ?
Allons cher Droudrou, déjà, je n'ai plus de petite amie mais une épouse et bien que sachant tout depuis longtemps, je suis un choqué par ce film qui fait montre d'une assez grande dépravation des moeurs !Lisez pour cela le topic qui lui est consacré et vous verrez que même Impétueux le considère pour un film assez "porno", non?
Jésus Dieu! Voilà la nouvelle Christine Boutin alias Azalabracadabramtchitchi… en pourfendeur de l'immoralité et du stupre sur petit et grand écran. Haro sur le nu et les scènes équivoques. Vive Walt Disney et Winnie l'ourson !
Silverfox, je ne connaîs pas vôtre âge, mais ayant la quarantaine, j'en suis resté aux films où les scènes d'amour même "nues" ne me choquent pas si elles ne sont pas trop crûes !Mais là, je les trouve particulièrement bestiales !Un couple faisant l'amour ne me choque nullement, mais lorsque c'est une partie de baise du début à la fin ….Tant qu'à Walt Disny, je peux vous dire que je l'ai fait découvrir à mes enfants avec beaucoup de plaisir et j'avoue les regarder parfois avec eux sans la moindre honte !
Il sait tout ! Il sait tout ! Ouille ! Bon ! Pour le moins, il répond à nos questions : il est marié ! il sait tout !…
Une fois de plus, Abrakalazamyouplaboum ne comprend rien à ce qu'on écrit !
Il imagine que lorsque un sein nu apparaît à l'écran, le film émoustille le déshonnête érotomane qu'il voit en nous tous : évidemment, l'austérité de ses propres mœurs est proverbiale et conjugale, tout à la fois.
Il ne comprend donc pas que pour être agréable à l'oeil – ce qui est fort rare – le sexe, à l'écran, ne doit pas être morne ; je ne sais plus où j'ai donné, comme exemple, Les galettes de Pont-Aven ; j'aurais pu évoquer aussi Benjamin
de Michel Deville.
Mais, en contre-exemple, voilà bien ce Dernier tango à Paris, lourd, oppressant, glauque… Si ça vous donne envie de faire l'amour à madame Abrakadalazamtchitchi, c'est que vous êtes – ce dont nous ne doutons pas – un type assez bizarre, Abrakadalazamscoubidoubidou !
Il est vrai que vous avez jugé aussi que Eyes wide shut était un film coquin, dans un message si stupide que je l'ai effacé immédiatement !
Bon, à part ça, puisque Droudrou me dit que Brando n'apparaît que dans le premier film, je me laisserai peut-être aller à regarder la trilogie du Parrain
…
Droudrou, j'aime vôtre sens de l'humour, mais pour ce film, je partage entièrement l'avis d'Impétueux !
Et bien, pour en remettre une couche et rester dans le léger, il a été évoqué par Abracadabrantesque, Walt Disney !
Et n'osant pas ouvrir un fil pour ça, je vous pose (trés sérieusement) la question : Cette rumeur internationale évoquant une pornographie latente dans Blanche neige et les sept nains
, vraie ou fausse ? Et si c'est vrai, pourriez vous me faire un dessin….Merci.
Abrakamachin… La quarantaine ? Alors là, je suis sans voix.
Lagardère ! C'est Blanche-Neige qui arrive au Paradis et Saint-Pierre (mon grand saint favori !) vient voir le Bon Dieu en lui disant qu'il y a une jeune fille qui semble réunir toutes les conditions d'entrée dans le Saint des Saints ! – Oui ? Et alors ? – dit le Bon Dieu – Eh bien, quand on a demandé à voir si elle était réellement vierge, on a trouvé 7 petits trous d'aiguille….
Pour notre ami Impétueux : à propos du Parrain, je ne sais si la nouvelle édition est sortie, je n'ai pas vérifié ! Attendez qu'elle soit disponible car elle est complète au niveau du remontage des scènes et les minutes qui manquaient précédemment sont importantes car elles nous donnent beaucoup des explications qui feraient quelque peu défaut dans l'ancien coffret ! Quant à Brando, pour une fois, "il ne se cure pas le nez" ou "ne se trifouille pas les oreilles" ou (se prenant pour Napoléon) "ne se tire pas le lobe de l'oreille" ! Néanmoins, notre ami ne devrait absolument pas regretter cette découverte du film…
Non, mais je suis sérieux, Droudrou ! Ne me dites pas que vous n'avez jamais entendu parler de ça ! Il est vrai que jamais personne n'a fourni la moindre explication sur les fameux indices pornos égrenant le film ( d'aprés la rumeur ! ) et je posais la question… C'est trés barbant, car j'ai lu ça souvent, et dans des revues trés serieuses ! Et j'avoue avoir revu plusieurs fois ce film dans l'intention première de trouver "la chose", je n'ai jamais rien vu de salace dans cette bluette !
Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?
Si mais s'il faut ensuite que Blanche-Neige subisse une interdiction aux moins de 18 ans, ça m'emmerderait quelque peu ! Mais nous sommes là sur le fil du Parrain à défaut du rasoir ! Et dans un film comme le Parrain, un rasoir est un outil très dangereux !
Alors personne pour m'en parler serieusement ? Alors n'en parlons plus !
« Un homme qui ne se dévoue pas à sa famille n'est plus un homme »
Cette phrase résume parfaitement ce film fleuve. Don Corléone adapte sans le savoir la doctrine d'Alexandre le grand. Tout pour la famille qu'elle soit de sa chair ou professionnelle. Conquérante en externe, loyale et soumise à son seigneur et maître en interne. Le tout prédispose au respect et au partage.
Une structure rassurante pour un vieux chef ivre de conformisme sachant sécuriser et récompenser des lieutenants efficaces dans un job particulier soumis à la récurrence des procédures le tout assurant le bon fonctionnement d'une usine à gaz toujours convoitée.
Le parcours ne s'écarte jamais de scènes intimistes et conviviales brusquement archivés par un processus répressif énergie combative d'une trahison omniprésente.
Don Corléone usé par des années de combats incessants cache une vengeance implacable dans des phrases larmoyantes. Une sanction douce prononcée par un timbre de voix à peine audible.
Les morceaux de bravoure s'exécutent au cordeau. Il faut quérir par l'action sa future armure de dirigeant ou disparaître subitement en faisant couler le sang nerf de la guerre d'un environnement rarement au repos.
Certaines vies sont sommaires abattues par des armes ne s'assoupissant jamais longtemps.
« Le Parrain « est un cours assez succinct sur un monde obscur, la maffia et sa logistique. Un territoire hyper violent, humainement fragile ou les règlements de comptes surgissent sans sommations dans les rues ou dans les bars.
Dans son genre l'œuvre frise la fresque, une tenture lente et sanglante d'un univers parallèle ignoré d'honnêtes gens bypassés de ces trahisons et punitions répétitives.
Cette visite d'un contexte malhonnête inconnu est ahurissante, Le territoire est attirant par l'équilibre d'un organigramme intérieur familial respectueux de ses devoirs envers un patron estimé.
Un courant limpide entre un dirigeant lucide sur le départ et sa garde Prétorienne dans un univers impitoyable.
A propos de la vision des suppléments liés au coffret Le Parrain, édition précédente (!!!), je regardais les scènes qui avaient été "supprimées" au montage ou "oubliées" et, dans celles-ci, alors que Michaël Corleone s'est "réfugié" en Sicile, il y a une scène où, en compagnie de ses deux gardes-du-corps, il se promène dans la montagne et vient à croiser un groupe de sympathisants de Salvatore Giulianno portant des drapeaux rouges qui flottent allègrement au vent…
C'est cette même scène que l'on retrouvera amplifiée dans Le Sicilien de Cimino où est bien oublié Michaël Corleone… C'est bien pour cela que je reproche à Cimino
d'avoir réalisé Le Sicilien
et à Coppola
d'avoir réalisé Gardens of stone.
Les deux films auraient été très différents en qualité. Et puis, quand on lit cet opus du Sicilien, il est bien dû à la plume de Mario Puzo
…
L'affiche représente une main qui agite les ficelles d'un pantin…Le thème des hommes "pantins" se trouvait déja dans les 2 adaptations cinématographique du roman de Pierre Louys :"la femme et le pantin". Mais si c'est par amour pour Eva (Brigitte Bardot dans l'adaptation de 1959) que Matéo Dias agit comme un pantin , c'est par peur que les hommes agissent comme des pantins dans "Le Parrain". Au moment de passer la main à son fils Michael, le parrain s'explique 2 h 23 mn après le début du film: "J'ai toujours refusé d'être un pantin…Je voudrais que ce soit toi qui tire les ficelles".
Je n'aurais pas été loin de donner la note maximale de chef-d’œuvre si le film, que je découvre seulement aujourd'hui, à un âge plus que mûr, durait un soupçon moins longtemps. Et la partition musicale de Nino Rota, malgré l'immense succès qu'elle a eue, n'est pas de mes préférées. Alors que pour chef-d’œuvre il y ait, il faut une complète harmonie entre toutes les composantes.
Je dois pourtant dire que, lors des premières séquences, je m'étais mis à songer que le fête de mariage de la fille de Corléone était plutôt moins pittoresque et – osons l’iconoclasme ! – moins vigoureusement traitée que la célébration de la circoncision du petit-fils de Raymond Bettoun (Roger Hanin) dans Le grand pardon.
Et d'ailleurs, au fil des images, je trouvais des analogies avec l'excellent film d'Alexandre Arcady,
notamment dans les antagonismes – ou différences de tempérament – entre les héritiers présomptifs des patriarches, Sonny (James Caan)
et Michael (Al Pacino)
ici, Maurice (Richard Berry)
et Roland (Gérard Darmon)
là. Ou dans la présence d'un sage, conseiller pondéré à sang froid, Tom Hagen (Robert Duvall)
aux Etats-Unis, Raphaël Atlan (Lucien Layani) en Europe. On pourrait même évoquer les présences vocales du crooner Johnny Fontane (Al Martino) et du ténor léger Freddy Ambrosi (Armand Mestral).
Sans doute Arcady
a-t-il voulu réaliser un bout d'hommage.
Monde pesant, sans espérance, sans clarté, sans gaieté. Je vais maintenant regarder la suite.
Il est curieux que vous fassiez une comparaison, même si les situations peuvent paraitre quelque peu analogues, entre la mentalité des Corleone et celles des Bettoun. Certes le crime est leur fond de commerce mais les premiers sont des Siciliens, et ont en eux le "tragique" d'une enfance baignant très tôt dans la guerre de leurs pères et la maffia régnant dans leur pays. Les seconds sont des rapatriés algériens dont l'exubérance n'a d'égale que le désir de vengeance sociale vis à vis d'un pays, la France, qui les a bringuebalés au fil de l'Histoire. Les Corléone ne friment jamais. Ils possèdent, ils règnent, mais ne cherchent pas à étaler de façon ostentatoire leur richesse et leur mode de vie. Les Bettoun aiment à donner la représentation avec force roulement de tambours ! D'ailleurs, vous le soulignez, Le Parrain part tout de même assez vite dans une autre dimension, impressionnante et inquiétante. Et si les Bettoun peuvent aussi se montrer inquiétants, ils ne sont jamais "impressionnants". Comparer les Corléone, monde pesant, sans espérance et les Bettoun, monde expansif et pétulant, c'est comparer Jack l'éventreur et Mesrine.
Le meurtre organisé et la gloriole.
Cela étant posé, en vous attelant à la saga du Parrain, vous allez au devant d'un cinéma majeur et fulgurant ! Et de belles heures vous attendent, sacré veinard !
Vous avez tout à fait raison Tamatoa et j'ai dû mal m'exprimer ou n'être pas assez clair : les uns et les autres n'ont rien à voir. Mais je me suis amusé envoyant, dans les dix premières minutes des situations qu'Arcady a évidemment copiées et exagérées. J'ai surement trop insisté sur ces analogies superficielles.
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