Tout comme Emmanuelle, Histoire d'O est un classique du cinéma érotique français, toujours super soft et sans aucune vulgarité. La photographie est soignée et de toute beauté et les décors sont vraiment somptueux. A noter le retour de Pierre Bachelet pour la musique. Corinne Cléry y est vraiment sublime !

Ce film, adapté du roman de Pauline Réage, connaîtra une suite, beaucoup plus fantaisite, filmée par Eric Rochat en 1984 "Histoire d'O : numéro 2".

Tout comme Emmanuelle, Histoire d'O est un classique du cinéma érotique français, toujours super soft et sans aucune vulgarité. La photographie est soignée et de toute beauté et les décors sont vraiment somptueux. A noter le retour de Pierre Bachelet pour la musique. Corinne Cléry y est vraiment sublime !

Ce film, adapté du roman de Pauline Réage, connaîtra une suite, beaucoup plus fantaisite, filmée par Eric Rochat en 1984 "Histoire d'O : numéro 2".

C'est de l'humour ? Jamais un film érotique n' été aussi lourd, aussi emmerdant, aussi orgueilleux. Je n'ai pas lu le livre de Pauline Réage et je n'ai guère envie d'y perdre mon temps. Mais comment ont ils pu à ce point faire un film aussi chiant ?
La pauvre Corinne Cléry entouré par des pervers sexuels, plus ridicule que diabolique semble réellement s'emmerder dans cette histoire de sado masochisme. Comme d'ailleurs tous les acteurs. Seul Just Jaeckin à la caméra croit, sans doute, qu'il réalise un chef d'œuvre. Les quelques scènes érotiques d'une effroyable banalité ne reveillent en rien un érotisme dans lequel on ne croit pas du tout.

Même Madame Claude à coté parait presque bon. C'est dire…

Fretyl a dit : Je n'ai pas lu le livre de Pauline Réage et je n'ai guère envie d'y perdre mon temps. Mais comment ont ils pu à ce point faire un film aussi chiant ? et comment peux-tu toi-même nous faire perdre notre temps à t'agiter sans arrêt ? et ne va pas dire que tes intentions sont honnêtes car que ne ferais-tu pas pour attirer l'attention sur toi ?

et comment peux-tu toi-même nous faire perdre notre temps à t'agiter sans arrêt ? et ne va pas dire que tes intentions sont honnêtes car que ne ferais-tu pas pour attirer l'attention sur toi ?

Qu'est-ce que j'ai dit, fait de mal ???

Je dois dire Droudrou que vous commencer à me bouriner le haricot ! Ou est-ce que je fais perdre du temps à qui que ce soit ? Je lis souvent vos dernières interventions, vous n'intervenez plus désormais sur le site, que pour commenter des commentaires. Il parait presque évident, qu'après 3000 messages, vous n'avez … Plus rien à dire…

Cela ne vous oblige pas à venir systématiquement m'attaquer, pour je ne sais quelles raisons et d'entrainer par la même manière avec vous des tas de cloportes qui se réjouissent de voir Dvdtoile se déchirer. Si un film ou un sujet ne vous intéresse pas, rien ne vous oblige à le commenter !

Mon pauvre Frétyl : il fut un temps où, avant ton arrivée, entre autres, DVDToile était un site intéressant où on parlait réellement cinéma ! Les échanges étaient fructueux et les intervenants échangeaient réellement émettant des avis intéressants. Même si la convivialité est liée au caractère de chacun et au plaisir ou la volonté de partager et de lier ! Maintenant y'en a marre de tes provocations à la con pour te rendre intéressant allant dénicher je ne sais quels titres rien que pour nous sortir tes bobards et tes sornettes ! Entre François Maréchal d'un côté et toi de l'autre quelle catastrophe ! Et je préfère clore là ma réponse !

Votre jambon persillé quotidien a dû tourner et vous rester sur l'estomac, où votre aligoté était à mauvaise température Droudrou et je ne vois pas pourquoi, sinon, vous cherchez une si mauvaise querelle à Frétyl qu'on ne peut en aucun cas comparer à François Maréchal/Alakazam/ peut-être Romanos !

Frétyl est souvent agaçant, a dû manquer l'école le trimestre où on a expliqué l'accord des participes, met souvent le doigt sur des orientations scabreuses, mais il aime autant que nous le cinéma et il écrit souvent sur des films que ni vous, ni moi n'avons chroniqués…

Gardons nous du politiquement correct ; on a tout à fait le droit ici, dans les limites légales, de tenir sur la politique, la religion, l'actualité des opinions hétérodoxes dans la mesure où elles prennent pour base un film, un acteur, un genre cinématographique.