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Sujet : Docteur Allen et Mister Woody


De PM Jarriq, le 16 avril 2006 à 09:07
Note du film : 3/6

Le passage de New York à Londres n'a pas vraiment profité à Woody, qui visiblement hors de son élément, rabâche son scénario de Crimes et délits, avec une seule variante : ici point question de Dieu, seulement de conscience et d'arrivisme. Le jeune irlandais se trouve confronté au même dilemme que Martin Landau, une maîtresse hystérique et incontrôlable, menaçant de détruire sa vie et sa place dans la société. Solution ? La même : tuer l'importune. Match point est un peu flottant au niveau de la narration, bien trop long (Allen nous avait plutôt habitués à des films de 80 minutes), et frisant le n'importe quoi par moments (les saynettes avec les deux flics, qui semblent sortir d'un autre film). Les comédiens sont bons, même si un peu insipides, et leurs personnages souvent stupides, ce que n'étaient jamais les héros new-yorkais de jadis. Le réalisateur a décidé de tourner en Europe (le prochain en France), et ce n'est pas bon signe. Demandez à Brian De Palma !


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De vincentp, le 17 mai 2006 à 10:13
Note du film : 3/6

Match point rencontre un franc succès public et critique en France depuis sa sortie.

Permettez-moi d'exprimer ici mon point de vue de chroniqueur vedette de dvdtoile, plus mesuré.

Le film possède certains aspects intéressants : il est bien joué, bien filmé (le cadrage et les mouvements coulés de la caméra en particulier), la partie finale du film est bien construite, originale, et possède une belle envergure.

Mais hélas bien d'autres aspects ne sont donc pas crédibles, et ce dès le début du film. Le personnage principal, censé être un joueur de tennis professionnel qui raccroche pour enseigner à Wimbledon, possède un physique de gringalet et manie sa raquette comme une poêle à frire. Pourquoi raccroche-t-il d'ailleurs ? Parce que c'est un artiste qui n'est pas fait pour les avions et les hôtels ! Surprenant au vu de son caractère matérialiste, développé par la suite  ! Pourquoi Woody n'a-t-il tout simplement pas embauché Tim Henman, le joueur anglais, pré-retraité qui a failli gagner sept fois Wimbledon ? Beau parleur et beau gosse, il doit pouvoir jouer la comédie !

Et puis, tout le monde devrait se douter qu'il y a une liaison entre Scarlett Johanson et le gringalet (tout particulièrement les femmes, à qui on ne la fait généralement pas !). Mais non ! Coups de fils répétés, mensonges à tout va, disputes en public… Rien n'y fait. Chacun n'y voit que du feu, même après le coup de feu ! Ah, que les femmes sont stupides, se dit-on par moment ! Tout particulièrement la belle et plantureuse Scarlett (elle n'est pas fute-fute mais quels beaux seins elle a en revanche, nous fait remarquer avec sa caméra Mister Woody, qui n'a décidément peur de rien !). On ne s'étonnera donc pas à ce sujet que le bon docteur Allen l'ait de nouveau prescrite pour son film suivant !

Tiens, à ce sujet, cela fait quarante ans qu'ils travaillent ensemble ces deux lascars ! Mister Woody est derrière la caméra, et le docteur Allen devant ! Pendant que l'un pince les fesses de ses actrices, l'autre serre les pinces de nos ministres de la culture, réalisant le grand chelem de la République : chevalier de la légion d'honneur, des arts et lettres, des palmes académiques, du salon de l'agriculture. Ne laissant même pas quelques miettes à nos compatriotes ! Même Impétueux, aussi médaillé qu'un maréchal soviétique, n'en a pas autant !

On se demande aussi à quel point Woody ne met pas tout simplement pas en scène dans Match point ses propres égarements, liés à sa vie publique agitée de ces dernières années. Cela fait frémir au vu du dénouement final. Dois-je aujourd'hui embaucher un garde du corps ?

Ce n'est pas tout ! Woody Allen prête à des jeunes anglais de vingt ans des attitudes et des propos de new-yorkais de quarante ans (passant leur temps à boire de l'alcool et à prononcer sur l'existence des propos philosophiques de drugstore). Voit-on de nos jours une jeune fille de vingt ans se précipiter chez le prêtre pour se marier illico presto puis foncer chez son gynéco pour avoir rapido trois enfants ? Et pourquoi pas directement des petits-enfants, avec les progrès de la médecine, pendant qu'on y est ?

Ce n'est pas fini ! Le monde des affaires est également présenté dans ce film de manière caricaturale. On voit bien que Woody Allen, en habitué des cocktails arrosés de Manhattan, en a simplement entendu parlé mais n'y a jamais mis les pieds ! Les jeunes de vingt ans, immatures, tel le personnage principal, n'y tiennent pas la dragée haute !

Woody, tu as 70 ans aujourd'hui 1° décembre 2005 : l'heure est peut-être venue de penser à ta retraite !

Produis donc maintenant des jeunes auteurs américains prometteurs !


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De Balthazar, le 14 août 2006 à 02:29

Il est étrange et désolant de lire tout ceci alors que Match Point montre à quel point Woody Allen sait passer aisément du drame à la comédie, réflexion au coeur même de son oeuvre comme Melinda et Melinda en est l'exemple même. Bref, voici comme dans Crimes et délits une variation supplémentaire de Woody Allen sur la préférence que donne l'homme à son image plutôt qu'à sa réalité concrète. Il préfère ici tuer la femme qu'il aime plutôt que de vivre avec elle, simplement et tout ça pour une image valorisante de lui-même car il a peur de la misère. Terrible. Ce sujet est balzacien en diable (Illusions perdues) en plus de s'inspirer de Dostoievski. Woody Allen reprend et précise la tragédie de la vie en montrant la part de hasard. il y aura de quoi en faire quasiment un livre dessus. Un livre sur son oeuvre vient de sortir et qui reprend tous ces éléments en 500 pages, scènes et dialogues à l'appui. Preuve que Woody Allen est l'un des derniers grands.

http://www.amazon.fr/gp/product/2843011442/403-4097681-8942868?v=glance&n=301061

Dans ce film, il n'y a nul temps mort à moins d'être addicté au film d'action bourrin, Woody Allen ne veut faire aucun suspense. Les personnages sont remarquablement croqués et sans psychologie inutile, un peu comme chez Kubrick (le défaut français de vouloir du psychologisant) L'intérêt est ce qui entraîne son personnage principal à commettre un tel acte. Point. Et le film est fort délicat. Un exemple par l'auteur du livre :

"Très souvent aussi, les personnages se retrouvent dans une loge à l'opéra alors qu'ils sont en train de vivre au même instant quelque chose de bouleversant. Un peu comme s'ils contemplaient le spectacle de leur vie en train de se dérouler sur la scène, Woody Allen créant ici un subtil et lumineux parallèle entre l'existence et la création artistique. C'est le cas de Chloé au tout début quand elle tombe amoureuse de Chris en le regardant à deux reprises alors qu'on joue la Traviata ; c'est le cas de Chris quand il sort dans le couloir rejoindre Nola qui est devenue distante. Ce sera encore plusieurs fois le cas. Cependant, en contrepoint à tout cela, l'air Una furtiva lacrima (une larme furtive) extrait de L'élixir d'amour de Donizetti (le héros a aperçu une larme dans les yeux de celle qu'il aimait et raconte son bonheur d'aimer) vient opposer le constat amer de l'amour raté."

Evidemment lors des deux meurtres, Woody Allen baigne la scène d'un air d'opéra de Verdi Othello (la scène où Otello tue Desdémone justement ! ). Vie et opéra alors se confondent totalement. Grande subtilité du film.

Une personne ici ne comprend même pas l'humour de la scène des deux policiers ! Il faut alors apprendre à regarder un film et voir toute la déchirante ironie de l'existence (il tue la femme qu'il aime et son l'enfant qu'elle attendait au moment où sa femme a enfin le sien !). tombeau que le personnage a creusé lui-même. Si vous me dites Et alors ?, je répondrais que vous attendez sans cesse du nouveau et de l'original à tout prix au point de dévaluer la plus simple et la plus pertinente idée sur le monde. Bref, il y a encore et encvore de quoi dire sur ce film et l'oeuvre de Woody Allen plutôt que les clichés habituels des cinéphiles.


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De vincentp, le 30 septembre 2006 à 14:46
Note du film : 3/6

Balthazar (Au hasard, Baltazar ?), établir un parallélisme entre l'opéra et la vie ordinaire constitue en soi une idée intéressante. On n'en attend pas moins d'un cinéaste qui a cinquante ans de carrière derrière lui, qui plus est, est cultivé, et capable de manier les symboles. Encore faut-il que la vie ordinaire des personnages soit décrite avec un minimum de crédibilité.

Et c'est bien là que le bas blesse. Allen a bâti ses grands succès publics et critiques (Annie Hall, Manhattan,..) sur une description très fouillée et réaliste de la psychologie de personnages issus de sa propre histoire, de son propre vécu, et il apparaît malheureusement aujourd'hui déphasé par rapport au mode de vie de personnages âgés de vingt ans, ou trente ans (voir ma chronique précédente sur Match point), qu'il est bien obligé de filmer car c'est ce public qui assure le succès commercial d'une oeuvre, et qui lui permet de continuer.

Il ne possède pas la capacité d'un Eric Rohmer (Pauline à la plage) ou d'un Ingmar Bergman (voir Fanny et Alexandre) à représenter des personnages d'une autre génération que la sienne. Il est malheureusement déphasé aujourd'hui (*), et seule sa culture artistique et cinématographique lui permet de tenir le coup. Dans ces conditions-là, il vaut mieux s'arrêter, pour éviter de faire le film de trop, qui ruine votre crédibilité artistique, et qui vous mets dans l'embarras juste avant de rencontrer votre Créateur (**).

Non, Balthazar, je ne suis pas convaincu par vos arguments. Ce ne sera donc pas Le festin de Baltazar.

(*) Nul propos anti-grand âge de ma part : on les apprécie beaucoup dans les cinémas, comme spectacteurs ou comme critiques.

(**) Et aucun blasphème religieux : on respecte toutes les religions.


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De paul_mtl, le 10 octobre 2006 à 22:10
Note du film : 2/6

Le film commence bien, il presente assez bien ses personnages d'horizons sociales differents:

le jeune prof de tennis irlandais d'origine modeste, le jeune londonien de famille riche, sa soeur et sa splendide petite amie americaine Scarlett Johansson.

On assiste a un milieu de film conventionel ou le jeune tennisman sort avec la soeur,

et cotoie la belle famille riche mais reste accroché a la blonde d'origine modeste comme lui.

Tout lui réussit avec une belle famille tres riche, le mariage et ensuite un job bien rémunéré.

Mais il n'est pas satisfait sans doute dans l'époque du plein emploi anglais des années 70 …

J'ironise mais c'est vrai qu'Allen est décalé enfin passons.

Mais la fin, a part qq scenes, est tres décevante.

Prendre cette magnifique blonde pour la faire tuer ainsi au fusil de chasse,

faut vraiment que le réalisateur tienne une sacrée couche de mauvais goût.

(Et les inspecteurs de Scotland Yard sont nuls au point de pas inculper le bon criminel.)

Le personnage principal est idiot, on l'avait bien compris avant cette acte mais combien d'autre possibilités s'offraient à lui.

Eh bien non, nous aurrons droit au Rambo version anglaise.

Ce film qui se passe à londres n'a pas bcp d'interet pour moi, je l'ai effacé assez déçu.


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De jipi, le 7 juillet 2008 à 16:44
Note du film : 6/6

« N'être jamais venu au monde est peut-être le plus grand des bienfaits».

Dans certaines circonstances l'existence n'est conditionnée que par le hasard, il suffit d'avoir de la chance et de survivre en camouflant à perpétuité un sentiment de culpabilité.

Chloé est fine, douce, protectrice, attentionnée. Formatée pour le mariage et la descendance elle se révèle rapidement ennuyeuse, trop conventionnelle dans une vie toute tracée ou le futur conjoint se capture, se façonne puis se conserve en bouteille dans des voitures de fonctions, des bureaux spacieux et des notes de frais illimitées.

Un cocon perpétuel dans une prison dorée sous dépendance patriarcale.

Nola est hors norme, libre, attirante, indécise. L'autre côté d'une voie royale gérée par l'ennui. Son instabilité professionnelle attise une envie d'aguicher de mettre à l'épreuve un regard attisé, déconnecté d'une procédure de fidélité.

Adepte de jeux pervers, elle se donne sous la pluie ou en lieu clos en sacrifiant des dessous offerts au plaisir.

Les méfaits d'une superficialité maitresse incontestée d'une terre aisée sont contrecarrés par un besoin de vivre les hasards du lendemain en lâchant ses sens en liberté.

Un esprit ouvert à l'expérience charnelle contre un autre obnubilé par la grossesse. Les jeux de l'amour en conflit avec un mécanisme de vie sans surprises. La sécurité du domaine contre l'extase du moment.

La vieille Albion étriquée par les principes se retrouve ébouriffée par un oncle Sam aux mœurs instables et grivois. La conception d'un enfant passe par la passion loin d'un projet de fécondité.

Dans un premier temps la peur du lendemain excite plus qu'une sécurité à temps complet. Un éternel conflit entre l'amour traditionnel et un manque de volupté qu'il faut conquérir sur d'autres terres.

Woody Allen sort enfin de ses épuisantes rafales de discussions monocordes en positionnant de nouvelles valeurs dans une filmographie bien souvent répétitive.

« Match point » est un film surprenant, captivant de bout en bout, métaphysique dans ses dernières images.

Une intrigue conventionnelle dévoile un opus sombre montrant la montée en puissance de toute la machinerie d'un processus passionnel amoureux menant les principaux protagonistes vers la dépendance, l'hystérie et l'aliénation

Le dilemme majeur entre la lâcheté d'un amant ayant besoin d'assouvir un besoin de luxure tout en sauvegardant sa sécurité matérielle.

Beau travail, bravo


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De Impétueux, le 19 juin 2011 à 18:30
Note du film : 2/6

Décidément, mon initiation à l'œuvre si célébrée de Woody Allen ne se passe pas sous les meilleurs auspices ; après les gentillets, aimables et finalement insignifiants Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu et Midnight in Paris, voilà que je découvre un Match point que j'ai trouvé ennuyeux et interminable.

De meilleurs connaisseurs que moi, ce qui n'est pas très difficile, ont dit ici et là combien Match point, d'ailleurs, par sa longueur et sa structure est assez atypique dans la filmographie d'Allen, qui est moins à l'aise, paraît-il dans le drame que dans la comédie ; ça n'empêche pas, dirait-on, qu'il rencontre toujours autant de succès dans la vieille Europe, et surtout en France, sans doute en raison de la sophistication qu'il offre par rapport aux blockbusters dont le Nouveau Monde nous irrigue. Il faudra peut-être, et même sûrement, qu'un jour j'aille voir du côté de Manhattan ou de La rose pourpre du Caire (c'est bien ça qu'il faut voir ?) pour me rendre compte si ça me convient davantage. Je ne dis pas ; mais est-ce que je ferai bien de persister ? Nous verrons.

J'ai trouvé Match point très prévisible, ce qui n'est pas forcément dirimant, mais ce qui rend nécessaire de la vivacité et du rythme, alors que les protagonistes du film s'engluent interminablement dans leur histoire et paraissent rejouer chaque scène deux fois ; c'est bien filmé, je ne le conteste pas, mais enfin les demeures de l'Angleterre pluvieuse, fussent-elles aussi confortables qu'elles apparaissent, leurs boiseries aussi bien cirées et leurs bibliothèques anciennes aussi photogéniques, suscitent en fin de compte (chez moi en tout cas) des bâillements de plus en plus accentués ; la violence des images terminales ne fait que me réveiller en sursaut sans m'intéresser vraiment.

Qu'en tirer ? Un regard un peu primaire sur les rapports de classe, une certaine sauvagerie, en ce domaine très anglo-saxonne, des invraisemblances (comment un homme d'affaires aussi avisé et sans doute aussi méfiant qu'Alec Hewett (Brian Cox, le père de Tom (Matthew Goode) et Chloé (Emily Mortimer) peut-il donner sans barguigner sa fille (même s'il doit la considérer comme un boulet un peu nunuche) à un type aussi douteux que Chris Wilton (Jonathan Rhys-Meyers) à l'air à peu près aussi franc qu'un âne qui recule et au beau visage d'une intense veulerie ?), et la délicieuse présence de Nola Rice (Scarlett Johansson). D'ailleurs la seule scène qui m'ait paru intéressante est celle où, devant une table de ping-pong, Nola et Chris se rencontrent et se séduisent.

Mais le coup du hasard qui fait que les crimes de Chris demeureront impunis est d'une telle superficialité, d'une sophistication si désinvolte qu'on en est presque agacé. C'est Hitchcock en pire, sans la mécanique horlogère.


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De vincentp, le 19 juin 2011 à 19:31
Note du film : 3/6

Effectivement : Manhattan, La rose pourpre du caire et à mon avis son meilleur film qui est Annie Hall (oscar du meilleur film, justifié celui-ci), le plus accessible. Ensuite un demi-ton en dessous : Meurtre mystérieux à Manhattan et Hannah et ses sœurs.


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De Impétueux, le 19 juin 2011 à 22:27
Note du film : 2/6

J'essayerai de voir tout ça…

Ah, au fait, Vincentp, lorsque vous écrivez l'autre serre les pinces de nos ministres de la culture, réalisant le grand chelem de la République : chevalier de la légion d'honneur, des arts et lettres, des palmes académiques, du salon de l'agriculture. Ne laissant même pas quelques miettes à nos compatriotes ! Même Impétueux, aussi médaillé qu'un maréchal soviétique, n'en a pas autant !… Dieu merci, j'ai beaucoup plus que Woody Allen dans ce domaine… Officier de la LH, du Mérite et des Arts et Lettres, officier de l'Ordre National du Burkina Faso, Commandeur du Mérite culturel bolivien…

Et, naturellement, Commandeur du Tastevin, Cousin de Savigny, Bailli de Pommard, Grumeur de Santenay, Chante-flûte de Mercurey, Veilleur de Nuits (Saint-Georges)… Il est doux de penser que, sans talent particulier, on puisse être mieux décoré qu'un cinéaste new-yorkais de grande intelligence… manquerait plus que ça !


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De Gilou40, le 20 juin 2011 à 01:22

Enchantée ! Gilou, ex-déléguée de l'Association d'élèves de l'Ecole élémentaire Robert Doisneau de Lyon. Titulaire de la carte de fidélité du Géant Casino, rue Baraban, à Lyon . Egalement titulaire de la carte de lavages voiture décernée gratos par la station Total du cours Lafayette de Lyon. Détentrice de la fève à la dernière Epiphanie. Jean's et Santiags ! Vous reprendrez bien un doigt de mousseux tiède ?

Dites : Vous nous avez pris un Melon….mais un de ces melons énooooooorme, vous !


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De Impétueux, le 20 juin 2011 à 11:17
Note du film : 2/6

D'autant que je n'ai pas tout dit : officier dans l'Ordre national du Mérite, chevalier des Palmes académiques, chevalier du Mérite agricole, Médaille (de bronze seulement, il est vrai) de la Jeunesse et des Sports, Grand Anysetier, Goûteur du Picodon…

Ce qui m'émerveille, c'est que quelqu'un d'aussi insignifiant que moi puisse être davantage décoré que Woody Allen qui, j'en conviens très volontiers, a des titres beaucoup plus somptueux que les miens à l'estime publique !


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De vincentp, le 20 juin 2011 à 21:01
Note du film : 3/6

Ah bon ! Ravi d'apprendre que Impétueux picole aux quat'coins de l'hexagone. Attention aux PV sur la route.


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