"Connaissant Fernando Arrabal par la galaxie des artistes espagnols réfugiés à Paris durant la dictature franquiste, il m'a semblé intéressant de faire le portrait du "Soleil" toujours […]
Un scénariste imagine un sujet qui mettrait en scène des assassinats en studio. Trois vedettes sont réellement assassinées. Il devra mener lui même son enquête pour se disculper.