Il s’agit d’un bon peplum signé
Antonio Margheriti reposant sur un scénario solide, de très bons décors et costumes. Le contexte est celui de la fin de l’empire romain et de la persécution de chrétiens. Mais venant après
Spartacus et
Ben-Hur,
il est logique que
Les derniers jours d’un empire (1963) ait aujourd’hui du mal à se frayer un chemin, et à passer pour autre chose qu’une curiosité. La copie VF et non restaurée ne facilite pas les choses. Un vestige d’une époque cinématographique révolue, le récit antique traditionnel avec ses gladiateurs et héros musclés, ses souverains perfides et qui se la coulent douce.