Accueil
Voici les derniers messages de ce forum :

Critique


De paul_mtl, le 23 août 2006 à 17:49
Note du film : 4/6

Je suis pas un fan de Sandler mais de Nicholson qui nous fait encore ici un numéro … de psychanaliste originale mais redoutablement éfficace. Le scenario & dialogues sont bien écrit avec un theme qui m'interesse. Le réalisateur tire bien parti de l'acteur Sandler. Un exploit qu'il faut souligner. Maintenant comme bcp de film US, on fait pas dans la dentelle mais je trouve que c'est une bonne comedie.


Répondre

De dumbledore, le 14 novembre 2003 à 13:32
Note du film : 1/6

Aïe, aïe, aïe. Le casting était attractif, avec deux stars, l’une très connue en France, Jack Nicholson et l’autre très connue surtout aux Etats-Unis Adam Sandler. Seulement le premier offre une performance convenue, parodiant ce qu’il fait depuis 40 ans, avec un physique tendance Brando fin de carrière (c’est-à-dire élargi sur les côtés). Quant au second, il ne s’en tire pas mieux. Certes, il ne joue pas la référence parodique, mais il développe un humour d’autiste (comme dans Punch Drunk Love) qui ne passe pas vraiment. Pourtant la fin du film qui le montre « libéré » prouve qu’il n’usurpe pas sa réputation de grand comédien. Il peut toucher, il sait être juste, mais il faudrait pour nous éblouir qu’il change de registre pour le drame ! Patience donc.

Le film en lui-même est servi par une mise en scène inexistante, sans idée, sans âme, sans rien, sans talent. Le scénario est tout à la fois incrédible, vulgaire et entendu dans les bifurcations qu’il opère. Du coup, comme l’humour ne passe pas, on assiste à deux heures de film durant lesquelles les acteurs s’acharnent à minauder, à surjouer pour tenter de nous faire décrocher un sourire. Ils en deviennent pathétiques.

Il reste tout de même deux petites idées assez drôles, du moins drôles comparé au reste affligeant du film. Il y a d’abord les "cameo", deux apparitions. Le premier est celui du symbole même de l’énervement incontrôlé des années 80, John McEnroe, amusant dans les 30 secondes qui lui sont consacrées et Rudolph Giulianni, plus pathétique lui, dans la scène violon de la fin du film.

La seconde idée qui fait un peu sourire, c’est la récupération de « I feel pretty » en chanson calmante. Efficace dans la scène du pont (Adam Sandler chante l’air alors que les voitures le doublent en l’injuriant) elle est reprise plus lourdement à la fin. Chose amusante, cette chanson était détournée également dans Mafia Blues, la rechute, film très similaire à celui-ci, dans l’utilisation parodique et pathétique d’un grand acteur pour un film poussif et raté.


Répondre

Installez Firefox
Accueil - Version haut débit

Page générée en 0.0029 s. - 6 requêtes effectuées

Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter