«la désormais oubliée mais néanmoins très charmante Elisabeth Wiener»
Croyez le bien, Elisabeth Wiener n'est pas oubliée par tout le monde. Et comme vous j'ai apprécié son charme dans La prisonnière mais aussi lors de son apparition en gitane dans Rocambole. Je n'ai pas eu la chance de voir ce Mazel Tov ou le mariage. Mais je trouve qu'il aurait tout à fait sa place dans une «Intégrale des films d'Elisabeth Wiener» que j'appelle de mes voeux.
Après le triomphe du "Vieil homme et l'enfant", Berri nous livre l'année suivante avec Mazel Tov (1968) une comédie plutôt réussie sur le thème du mariage juif.
Berri-réalisateur nous surprend également à interprêter lui-même le rôle du marié, face à la désormais oubliée mais néanmoins très charmante Elizabeth Wiener ("La prisonnière"), dans une ambiance que l'on devine folklorique.
Tourné principalement à Paris, le film fait une incursion à Anvers – là-même où vint tourner un an plus tôt Louis De Funès pour ses "Grandes vacances" -, et (r)enseigne quelques coutûmes du milieu juif, sans prétention.
Certains reprocheront peut-être à "Mazel Tov" l'une ou l'autre longueur, mais on retiendra une leçon d'anglais mémorable avec Berri et l'humour de Grégoire Aslan, le beau-père, ou de Régine, la belle-soeur…
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