J'ai passé deux ans, en immersion dans des entreprises mondialisées, à filmer le travail. Des employés jusqu'aux actionnaires. "La mise à mort du travail" est un triptyque. "La dépossession" raconte le pouvoir des actionnaires, "L'aliénation" décrit les folles manipulations du management, et "La destruction" conclu sur les effets violents de cette gestion des ressources humaines sur les hommes et les femmes qui travaillent. Si la crise économique nous oblige à questionner le capitalisme néo-libéral de ces 30 dernières années. La crise du travail, elle, devrait questionner tous les managers qui, pour répondre aux seules exigences fixées par leurs actionnaires, poussent les salariés jusqu'au bout de leurs limites. Au nom de quoi, de quelle idéologie ?
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