Céline Lomez peut tenir son bout à l'écran; elle est bien plus expressive que, par exemple, une Ursula Andress ou une Raquel Welch (pour ne rien dire de l'usurpatrice Tanya Roberts !). Et dans Gina, Lomez est vraiment d'un naturel étonnant en danseuse cochonne (il est vrai que Denys Arcand est un directeur d'acteurs peu commun). Mais disons-le : c'était d'abord et avant tout un pétard, comme on dit au Québec, c'est-à-dire, pour citer l'humoriste Yvon Deschamps, « le genre de fille avec qui tu sors trois, quatre mois puis tu sais même pas encore si elle a un nez ou des oreilles ! »
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