4,5/6. Une succession d'images somptueuses et de plans très élaborés. Les scènes de kung-fu sont très réussies et cet aspect mérite le détour. Mais l'histoire de The grandmaster est incompréhensible, moyennement intéressante. Sur une durée de deux heures, c'est embêtant. L’impression au final d'une oeuvre froide et figée, malgré des mouvements physiques en accéléré type Matrix. Par moments, on se croirait assistant à la cérémonie d'ouverture des JO. Wong Kar-WaÏ, cinéaste phare des années 1990, semble être aujourd'hui un peu égaré…
Page générée en 0.0033 s. - 6 requêtes effectuées
Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter