Du réalisateur Alessandro D'Alatri, je ne connais que l'excellent Senza pelle (1995), un (mélo)drame avec quelques soupiraux humoristiques qui était plein de promesses. Le cinéma italien à ce moment-là commençait à reprendre des couleurs, mais il restait toujours aussi difficile de le voir. Les commentaires glânés ici et là sont fort engageants, telle cette critique tirée de Positif.
« D'Alatri confronte les idéaux d'un trentenaire désoeuvré à la réalité de l'Italie contemporaine et à la dimension ubuesque de la bureaucratie. On s'attache aux pas de ce personnage complexe pendant plus de deux heures, suspendu à la moindre de ses décisions. Grâce à un scénario tiré au couteau et à des trouvailles visuelles souvent hilarantes, La Febbre évoque parfois l'Ettore Scola des années 70. Signalons que les comédiens sont tous époustouflants de naturel. »
Et je vote pour une édition DVD !
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