Cet entretien avec Bajram Rexhepi, tantôt dans son bureau de maire de Mitrovica,tantôt en voiture, parcourant les lieux des combats de l'an dernier au Kosovo, vise à réparer un curieux manque d'image : depuis avril 1999, tout ce qu'on a vu des Kosovars, c'est de pauvres réfugiés ballottés sur les routes. L'idée qu'il existe des intellectuels kosovars capables de commenter leur expérience (ici, celle d'un chirurgien qui a fait la guerre dans les rangs de l'UÇK, l'Armée de Libération) et d'en tirer des conclusions pour l'avenir, ne semble pas avoir effleuré le monde des médias. On cherche ici, modestement, à combler un peu de ce manque.
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