On peut sauver la beauté de Barbara Bach, la cruauté du carnage final et le discours écologique pertinent mais cet alligator -qui n'en est d'ailleurs pas un puisque le film se passe se passe en Asie alors que les alligators vivent en Amérique- coule à pic et rejoint les tréfonds de la nullité.
Un film assez triste, qui montre la dégénérescence du cinéma de genre italien à l'orée des années 80.
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