« ce porno-soft, vu un dimanche soir, au temps où M6 présentait hebdomadairement des demoiselles jolies et assez dénudées»

Eh bien Impétueux, vous semblez décidément vouloir postuler pour le «mulot» du cinéma érotique!!!

Ceci étant dit, j'abonde en votre sens et ne saurais trop inciter Arthur Fauvert, s'il veut apprécier le style de Pierre Louÿs de plutôt le lire dans l'édition de 1895 du Mercure de France ou mieux encore dans l'édition L. Borel de 1901 avec les gravures de A. Calbet. Pour apprécier le talent de Valérie Kaprisky, mieux la voir dans La femme publique que dans ce sombre navet réalisé par un obscur inconnu.

Il est de salubrité publique que je vous indique que ce porno-soft, vu un dimanche soir, au temps où M6 présentait hebdomadairement des demoiselles jolies et assez dénudées, n'a aucun rapport avec l'oeuvre de Pierre Louÿs et est atterrant de médiocrité, de veulerie et de bêtise.

En plus, c'est un attrape-couillon. Libre à vous d'aller le constater de visu !