Je rejoins tout à fait les différents messages de vincentp laissés sur ce fil dédié à Miami Vice.
Je suis toujours fasciné chez Michael Mann par cette capacité à filmer le grain de la nuit, des moments contemplatifs (Colin Farrell fixant soudain, à travers une baie vitrée, l'étendue blême de la mer au loin).
Cette façon qu'a le cinéaste d'introduire des digressions (les premières scènes d'amour entre Gong Li et Colin Farrell) qui prennent tout leur sens par la suite, cette sorte de tension mélancolique captée par sa caméra, la manière qu'il a de ménager des scènes d'actions foudroyantes amorcées par des montées d'adrénaline, décuplées par sa science du montage.
Définitivement un immense cinéaste.
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