Le film ne s'attarde pas sur le sort du photographe Baruch, complice puis assassin du maître chanteur Louis Bonnet. A l'époque les photocopieurs n'étaient pas encore commercialisés (il faudra attendre 1959) et le photographe à pris des photos des lettres compromettantes utilisées pour faire chanter Jean Vigneron .Ci-après à 23 mn 40s une des lettres compromettantes photographiée :
Louis Bonnet lit la lettre : "Je serais 5 h demain chez toi, Léa… mais ?…" , puis s'adressant à Baruch ou suite de la lettre ? "à toi".Puis commente : "c’est beau l’amour" .Léa au lieu d'Inès ? Une lettre d’un autre chantage ? On voit les initiales L.M. en haut à gauche. Puis celles concernant Inès ? Ricaldo de Montalban, va apprendre que sa femme Inès était la maîtresse de Jean, son ancien ami , rachete ces lettres vers 46 mn et innocente Jean au cours du procès de Jean que l’on croit coupable de l'assassinat de Louis Bonnet, en disant que c’est Baruch l'assassin et dit "vous n'aurez aucun mal à l’arrêter " . Il sait qu’il va ainsi faire acquitter Jean ,mais lui en veut et veut se venger. On peut extrapoler et imaginer que le photographe sera arrêté , mais le film n'en fait pas état. A 1 h 06 mn , le juge : "j'abandonne l’accusation" (de Jean).Baruch, nom hébraïque , à peut être été choisi en pensant au plan Baruch aux USA en 1946, pour contrôler l'énergie atomique .
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