Trois histoires se succèdent de qualité diverse. La première totalement absurbe est le moins réussi sur la vie d'un cafard. La seconde est nettement plus drôle sur l'histoire d'amour de deux mains et de l'infidèlité de l'une à l'autre qui a "fauté" avec un pied. Les deux mondes qui s'opposent (les pieds et les mains) sont très drôles dans la gestion de l'absurde du racisme.
La dernier est un petit bijou : sur un mur des dizaines de cartes de vœux qui se mettent à s'animer, les personnages des cartes se mettant à agir, passant même de cartes en cartes. Un pur régal hérité de Georges Mélies
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