Le téléphone joue, comme le titre le laisse penser, un rôle prédominant et les 20 premières minutes du film ne tournent qu'autour de lui, passant (et présentant) un personnage à l'autre.
Certes, le point de départ est une coincidence énorme, mais le talent de Barbara Stanwyck et celui du scénario et de la mise en scène permettent de construire un suspens des plus efficace et un film qui tient très bien la route. La tension ne retombe jamais et donne finalement un film noir dans toute sa force, c'est-à-dire dans sa pureté.
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