De toute façon, il en va de la curiosité cinéphilique. C'est une des très rares fois, où un film français est "remaké" par un grand cinéaste, et pas un tâcheron hollywoodien. Et puis j'ai toujours eu eu faible pour Matthau, et voir Kinski en sexologue givré doit quand même valoir son prix en cacahuètes…

Vouais ! Ce qu'il y a c'est que les uns et les autres se sont fait vieux…

Je suis assez d'accord avec Gaulhenrix qu'une seconde vision des films de Billy Wilder n'est pas à négliger. Et puis, c'est vrai aussi que comme pour beaucoup de réalisateurs, tout ne peut pas être de la même veine !