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Faiblarde œuvrette


De Frydman Charles, le 20 décembre 2023 à 06:37
Note du film : 5/6

L'intrigue n'est vraiment pas passionnante…un enfant doué pour la musique qui échappe à son milieu aisé pour rejoindre vers 36 mn une bande de gamins qui se baptisent compagnons de la grande truanderie. Un nom qui évoque la cour des miracles, la rue de la grande truanderie â Paris…Un kidnapping… Raymond Souplex est plutot synonyme du commissaires Bourrel dans les 5 dernières minutes,série tourné 2 ans plus tard à partir de 1958. Mais on peut trouver un certain intérêt à des images du vieux Paris les Halles…Vers 33 mn dans un café le patron colle une affiche pour un match de boxe au Central . Central S.C. (sporting club) 57 faubourg Saint Denis.

La salle etait tres populaire à l'époque, elle était évoquée dans le film l'air de Paris en 1954. A noter à 10 mn 32 un billet de satisfaction au nom de René Dupuis,ce n'est visiblement pas le Rene interprété par Jimmy Urbain chef des gosses du quartier, appelé ainsi vers 25 mn, et qui dicte les regles d'admission aux compagnons de la grande truanderie vers 36 mn. Sur l'image suivante a 25 mn René est au milieu et le gavroche au billet de satisfaction à gauche
Le billet a été apporté à ses parents par un gavroche qu'on imagine mal assidu à l'école. Le père est content "chose promise, chose due, tu auras ta bicyclette à Noël "


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De Azurlys, le 19 août 2011 à 21:20

Sauf erreur, cette œuvrette faiblarde a été dirigée par Robert Vernay qui fut mieux inspiré ailleurs. Son "Comte de Monte-Cristo", de 1942, avec Pierre Richard-Wilm était autrement réalisé.

Évidemment le sujet est différent, moins ambitieux (peut-être une commande réalisée sans enthousiasme), très éloigné de l'adaptation romantique excellente du roman de Dumas, sans doute la meilleure. Ici on est dans le sujet bâclé, mal écrit, avec une distribution hâtive, mal dirigée en dépit de comédiens estimables : Jeanne Sourza, Raymond Souplex… C'est un avis personnel, bien entendu, mais si l'on aime la facilité assumée – avec des comédiens qui s'amusent eux-mêmes et savent le montrer – on trouve mieux avec certaines œuvres d'avant-guerre de Christian-Jaque (Ernest le Rebelle), ou Émile Couzinet dont le coté suranné, finalement, n'est pas sans charme.


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