Pour marquer son film, il tente toutefois de recourir à quelques trucs. Deux en l'occurrence : le mode opératoire des tueurs. Ici ils sont masqués et agissent à coups de machettes. Dans le sexe ensuite, avec plusieurs scènes, sans vraiment grand intérêt dramatique, scènes qui culminent dans un viol collectif, vite vengé par une sodomie au revolver du méchant qui a ordonné à ses hommes de commettre ce viol.
Au final, pas grand chose de très excitant, sauf encore une fois de voir comment en asie on peut réussir à faire un film en 10 jours. De ce point de vue, c'est presque une leçon de cinéma.
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