La cérémonie des Gérard du cinéma était animée par un trio drôle et taquin : Stéphane Rose, Arnaud Demanche et Frédéric Royer, et retransmise sur la chaîne Paris Première.

Il fallait le prendre sur le ton de la rigolade et avoir une bonne dose de second degré pour oser venir chercher son parpaing doré lors de la cérémonie des Gérard du cinéma (source Paris Première)

Je veux bien que tout être humain se doit d'être doté de deuxième, troisième ou vingtième degré, mais décerner à l'adorable Judith Godrèche le Gérard du Gros Cul , je trouve ça un peu limite…Chez certaines personnes, (et on connait la fragilité des acteurs et actrices ) le troisième degré pourrait se transformer en brûlure… Votre Avis ?

On peut franchement dire que cette jolie chronique s'apparente bien en un penchant féminin du Cœur des hommes et l'on félicite d'ores et déjà la réalisatrice néophyte de ce film, Cécile Telerman, belge de surcroît…

Une histoire simple, assez plaisante à suivre – trois amies parlent de leur vie sentimentale très mouvementée – pendant laquelle on sourit volontiers, notamment grâce à la spontanéité et l'humour de Mathilde Seigner…Sans oublier le charme de Judith Godrèche, plus mûre que jamais…

A titre personnel, j'éprouve toutefois une certaine lassitude de ce cinéma français bourgeois, tourné systématiquement à Paris, avec ses personnages habitant d'immenses appartements impayables pour le commun des mortels. Cet esthétisme répétitif en deviendrait presque…provocateur!